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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
the last bandit
Americana- Langue pendue
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dkelvin- Langue pendue
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dkelvin- Langue pendue
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Hendrix - Band Of Gypsys
Chino- Bavard
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
feu guitariste du Funkadelic (notamment le monsieur du solo de Maggot Brain) capté en studio en 1975.
C'est court, 4 titres seulement pour à peine 28mn pratiquement entièrement instrumentales, mais ça tricotte !
Eddie en pleine transe hendrixienne ! Ca fume !
katou8- Langue pendue
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Groupe British 70's trop méconnu et sous-estimé à mon sens :
Cet album me semble -t-il est le meilleur qu'ils aient commis. Tout y est : voix, mélodies, arrangements. Un sans-faute !!!
Cet album me semble -t-il est le meilleur qu'ils aient commis. Tout y est : voix, mélodies, arrangements. Un sans-faute !!!
Goldilox- Langue pendue
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dkelvin- Langue pendue
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
relents de jeunesses ... (1983) ... ce doit être les effets secondaires de la boîte de viagra que je viens d'avaler en prévision que peut-être un troupeau de majorettes va sonner à ma porte !!!
La nostalgie me fait toujours adorer ce disque ... mais si je le découvrais aujourd'hui en serait-il ainsi ? Je reste persuadé que l'affectif à certains disques reste lié pour beaucoup à l'époque à laquelle on les a découverts.
Ce groupe fut une gloire du rock (hard en l'occurence) en son temps en Espagne, remplissant des salles de l'équivalence de Bercy ... puis plouf, plus rien, bien qu'ils survivent toujours.
katou8- Langue pendue
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
katou8 a écrit:[img]ce doit être les effets secondaires de la boîte de viagra que je viens d'avaler en prévision que peut-être un troupeau de majorettes va sonner à ma porte !!!
Ah! Une bonne majorette, y'a qu'ça d'vrai!
L'ennui c'est qu'elle continue à jongler avec son truc pendant... mais on s'y fait.
Hugues- Langue pendue
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
oui enfin fais quand même gaffe de ne pas t'assoir dessus par inadvertance ... enfin tu fais bien comme tu l'sens !
en ce matin de pluie je réécoute ceci ... au cas où ...
... mais non, cet hommage à la chanson française est vraiment calamiteux ... jusqu'à la version sublimée du "bal des laze" probablement supérieure à l'originale (il en existe une version live encore meilleure !)
alors je passe à ceci
histoire de me remémorer qu'en matière d'hommage, les élèves font bien mieux que les maîtres !
en ce matin de pluie je réécoute ceci ... au cas où ...
... mais non, cet hommage à la chanson française est vraiment calamiteux ... jusqu'à la version sublimée du "bal des laze" probablement supérieure à l'originale (il en existe une version live encore meilleure !)
alors je passe à ceci
histoire de me remémorer qu'en matière d'hommage, les élèves font bien mieux que les maîtres !
katou8- Langue pendue
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Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Et si le meilleur Supertramp était celui-ci ... celui qu'un puriste du rock pourra aimer sans en avoir honte.
Aucun tube, ils ont dû en vendre 4 à vue de nez (1 pour chaque famille des membres du groupe), aucune sucrerie, juste un groupe de rock (progressif) qui manie avec bonheur l'art de la mélodie et les envolées instrumentales aventureuses de guitare et d'orgue que l'on ne leur connaîtra plus jamais.
Bref, le Supertramp de 1970 n'a pas grand chose à voir avec celui qui ressurgira en 1974 pour une histoire beaucoup plus connue, ni même avec le suivant de 1971 qui est déjà quelques étages en dessous (en fait un mauvais brouillon de ce qu'ils deviendront plus tard).
Une sacrée pépite des 70s ... à écouter si possible sans préjugés déplacés.
1 de + au compteur des groupes qui ont pondu un 1er album totalement à l'envers du reste de leur discographie.
katou8- Langue pendue
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Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Je me suis regardé ce DVD ce matin, Lucinda Williams en live à l'Austin City Limits (son premier des trois), le 13 octobre 1989. Le son en surround sur ma chaîne était parfait.
Beaucoup d'observations que je vous livre pêle-mêle: il se passait quelque chose entre elle et le guitariste Gurf Morlix. Ils étaient très soudés, c'est un guitariste hors-pair, du genre fin et concis (comme beaucoup de guitaristes country me direz-vous), et le son fluide de son instrument soulignait magnifiquement la voix de Lucinda. Lucinda, en 89, avait encore la beauté de la jeunesse (elle a très mal vieilli, il faut bien le dire, sa voix aussi d'ailleurs), mais son show était égal à lui-même: relativement statique, le regard grand ouvert ailleurs, vague, inexpressif, mais de beaux yeux émeraude comme des carreaux embués d'humidité tropicale, une bouche qui s'ouvre à peine pour laisser jaillir un chant vibrant, saisissant, tour à tour sauvage et caresseur, mais sans être extraverti, juste effectif. Lucinda n'est pas Springsteen: elle n'en fera jamais trop. Plutôt, on a l'impression qu'elle essaie d'être le plus juste possible dans l'expression des sentiments, tout comme son guitariste.
Le producteur d'Austin City Limits, Terry Lickona, trouve les mots justes dans ses "notes de pochette": "In 1989, it seemed like everybody was wild about Lucinda. What was it about her - the songs, full of raw emotion? The voice - exuding longing, desire, passion? All that and more. Her self-titled album Lucinda Williams, the year before this performance, blew the doors wide open. Maybe music fans were starving for the kind of tell-it-like-it-is honesty that Lucinda delivers in spades" (ce qu'on trouvera aussi chez les fans d'Uncle Tupelo, ajouterai-je).
Inexpressif disais-je, mais de temps en temps un grand sourire créole, aux dents blanches, lumineux et contagieux. Le son: pas aussi sauvage ou rêche qu'on pourrait le croire. On est plus du côté de Moon Martin que de Mink DeVille, on est dans l'univers de cette country des années 80 qui a le mérite d'être concise et de s'attacher au son basique batterie-basse-guitare (parfois un orgue, un harmonica, un accordéon, c'est à peu près tout). Mais si ce son n'est pas juteux ni barbelé, plutôt lisse et fluide, il respire, néanmoins, avec justesse, et parfois la sauvagerie est atteinte rien que par le truchement de certains breaks, de certains mots, et surtout de cette voix qui peut paraître parfois très rustique, en lâchant un chant de coyote malfamé. Ce n'est pas Hank Williams, mais on sent que le blues est là. Cela est évident notamment sur le vieux morceau chanté en rappel à la fin du set, "Happy Woman Blues". On se dit d'ailleurs que Lu aurait pu commencer d'entrée sur ce ton, histoire d'être encore plus "secouant". Mais ce n'était apparemment pas l'objectif du groupe, qui m'a paru beaucoup plus perfectionniste, un perfectionnisme, je le répète, continuellement attaché à la justesse d'expression des sentiments - la base étant déjà dans les chansons, d'ailleurs, dans le texte et la forme. De vrais joyaux pour les musiciens, ces chansons. De la matière solide, sur laquelle on peut se fier pour montrer ce qu'on sait faire, en finesse, avec intelligence, sans excès, sans simagrée.
M'étant mis le DVD sans regarder préalablement la liste des titres, je me suis laissé surprendre. La douceur immédiate du troisième titre, "Am I Too Blue", m'a fait verser ma petite larme. C'est-à-dire que cette voix, qui s'élève en solo comme une plainte, me va droit au coeur. Et c'est joué si délicatement, avec tant de pureté. Je salue le solo de Gurf Morlix (quelle classe, ce mec, quel artiste!) sur ce morceau, si simple, si juste (excusez mon manque de vocabulaire...). Quand Lu chante le blues, il se passe aussi quelque chose, n'oublions pas que son premier album, dix ans plus tôt, nous abreuvait de titres de Memphis Minnie ou Robert Johnson. Ici c'est "Nothing in Rambling" qu'elle nous interprète, avec en guest un harmoniciste nommé Logan, John 'Juke' Logan.
Toutes ces chansons carrées, jamais linéaires, denses comme la foison, leurs images au parfum de champs de blés, au soir plein d'odeurs et de rumeurs, ont une musique qui puise sa source dans le coeur de ce qui la génère, et est en cela une révérence aux valeurs de la tradition cultivée depuis des siècles. Les influences sont assimilées et justifiées, au nom de ce qui les a fait naître. On le sent, que Lucinda a encore des chansons en elle, qu'elle livrera encore au moins sur deux albums (Sweet Old World et Car Wheels on a Gravel Road). Cette densité, ce foisonnement, se dissiperont à partir d'Essence, album évanescent, avant de s'égarer dans l'excès, l'auto-indulgence, l'obstination... Cette obstination qui fut pourtant, au début, la qualité d'une femme qui a su s'imposer dans les années 80 (son album éponyme "country" étant publié en 1988 par Rough Trade, et non Columbia, rappelons-le). Il faut croire que Rough Trade avait su distinguer chez Lucinda quelque chose qui allait bien au-delà de la country mainstream qui dominait les radios de l'époque (en tout cas au Texas), une époque où l'on allait jusqu'à considérer la country des Emmylou Harris, Rosanne Cash ou Mary Chapin Carpenter comme "alternatives"!
Hugues- Langue pendue
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Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
En vrac mes deux dernières écoutes :
Killing Floor et son 2nd LP pour un Heavy-Psyche Blues comme je les apprécie
et dans un tout autre registre :
Jerry Joseph et sa bande pour un bon rock US sentant et suantant la poussière :
Killing Floor et son 2nd LP pour un Heavy-Psyche Blues comme je les apprécie
et dans un tout autre registre :
Jerry Joseph et sa bande pour un bon rock US sentant et suantant la poussière :
Goldilox- Langue pendue
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Localisation : Somewhere else
Date d'inscription : 02/01/2006
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
traduction: hard australien qui remet au goût du jour ce qui se faisait de bien quelques années auparavant...
godevin- Langue pendue
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Localisation : waiting for the worms
Date d'inscription : 22/07/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Ils sont fous, ces gaulois
(Pot-peu-pourri de la parade des succès sur la crête du Jerk-Baïon.
(Par exemple, un DIY fort recommandable (Mon dieu! Ils l'ont fait eux-mêmes) -Ali Baba et ses 4 Voleurs = Chiche Kebab Yeah Yeah!)
(Pot-peu-pourri de la parade des succès sur la crête du Jerk-Baïon.
(Par exemple, un DIY fort recommandable (Mon dieu! Ils l'ont fait eux-mêmes) -Ali Baba et ses 4 Voleurs = Chiche Kebab Yeah Yeah!)
Dernière édition par L'Incohérent le Mar 10 Nov - 23:00, édité 1 fois
L'Incohérent- Bavard
- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 02/01/2007
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Exemple deux -Un DIY du Pop Liberty 6 = Mais Qu'est-Ce Que Ma Soeur Fait Dans La Machine à Vapeur ?
L'Incohérent- Bavard
- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 02/01/2007
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
El Camel des Falcons enterre promptement Joy Division.
Compliments! Les Falcons! Vous êtes de chics types.
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L'Incohérent- Bavard
- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 02/01/2007
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Hugues a écrit:
Je me suis regardé ce DVD ce matin, Lucinda Williams en live à l'Austin City Limits (son premier des trois), le 13 octobre 1989. Le son en surround sur ma chaîne était parfait.
Beaucoup d'observations que je vous livre pêle-mêle: il se passait quelque chose entre elle et le guitariste Gurf Morlix. Ils étaient très soudés, c'est un guitariste hors-pair, du genre fin et concis (comme beaucoup de guitaristes country me direz-vous), et le son fluide de son instrument soulignait magnifiquement la voix de Lucinda. Lucinda, en 89, avait encore la beauté de la jeunesse (elle a très mal vieilli, il faut bien le dire, sa voix aussi d'ailleurs), mais son show était égal à lui-même: relativement statique, le regard grand ouvert ailleurs, vague, inexpressif, mais de beaux yeux émeraude comme des carreaux embués d'humidité tropicale, une bouche qui s'ouvre à peine pour laisser jaillir un chant vibrant, saisissant, tour à tour sauvage et caresseur, mais sans être extraverti, juste effectif. Lucinda n'est pas Springsteen: elle n'en fera jamais trop. Plutôt, on a l'impression qu'elle essaie d'être le plus juste possible dans l'expression des sentiments, tout comme son guitariste.
Le producteur d'Austin City Limits, Terry Lickona, trouve les mots justes dans ses "notes de pochette": "In 1989, it seemed like everybody was wild about Lucinda. What was it about her - the songs, full of raw emotion? The voice - exuding longing, desire, passion? All that and more. Her self-titled album Lucinda Williams, the year before this performance, blew the doors wide open. Maybe music fans were starving for the kind of tell-it-like-it-is honesty that Lucinda delivers in spades" (ce qu'on trouvera aussi chez les fans d'Uncle Tupelo, ajouterai-je).
Inexpressif disais-je, mais de temps en temps un grand sourire créole, aux dents blanches, lumineux et contagieux. Le son: pas aussi sauvage ou rêche qu'on pourrait le croire. On est plus du côté de Moon Martin que de Mink DeVille, on est dans l'univers de cette country des années 80 qui a le mérite d'être concise et de s'attacher au son basique batterie-basse-guitare (parfois un orgue, un harmonica, un accordéon, c'est à peu près tout). Mais si ce son n'est pas juteux ni barbelé, plutôt lisse et fluide, il respire, néanmoins, avec justesse, et parfois la sauvagerie est atteinte rien que par le truchement de certains breaks, de certains mots, et surtout de cette voix qui peut paraître parfois très rustique, en lâchant un chant de coyote malfamé. Ce n'est pas Hank Williams, mais on sent que le blues est là. Cela est évident notamment sur le vieux morceau chanté en rappel à la fin du set, "Happy Woman Blues". On se dit d'ailleurs que Lu aurait pu commencer d'entrée sur ce ton, histoire d'être encore plus "secouant". Mais ce n'était apparemment pas l'objectif du groupe, qui m'a paru beaucoup plus perfectionniste, un perfectionnisme, je le répète, continuellement attaché à la justesse d'expression des sentiments - la base étant déjà dans les chansons, d'ailleurs, dans le texte et la forme. De vrais joyaux pour les musiciens, ces chansons. De la matière solide, sur laquelle on peut se fier pour montrer ce qu'on sait faire, en finesse, avec intelligence, sans excès, sans simagrée.
M'étant mis le DVD sans regarder préalablement la liste des titres, je me suis laissé surprendre. La douceur immédiate du troisième titre, "Am I Too Blue", m'a fait verser ma petite larme. C'est-à-dire que cette voix, qui s'élève en solo comme une plainte, me va droit au coeur. Et c'est joué si délicatement, avec tant de pureté. Je salue le solo de Gurf Morlix (quelle classe, ce mec, quel artiste!) sur ce morceau, si simple, si juste (excusez mon manque de vocabulaire...). Quand Lu chante le blues, il se passe aussi quelque chose, n'oublions pas que son premier album, dix ans plus tôt, nous abreuvait de titres de Memphis Minnie ou Robert Johnson. Ici c'est "Nothing in Rambling" qu'elle nous interprète, avec en guest un harmoniciste nommé Logan, John 'Juke' Logan.
Toutes ces chansons carrées, jamais linéaires, denses comme la foison, leurs images au parfum de champs de blés, au soir plein d'odeurs et de rumeurs, ont une musique qui puise sa source dans le coeur de ce qui la génère, et est en cela une révérence aux valeurs de la tradition cultivée depuis des siècles. Les influences sont assimilées et justifiées, au nom de ce qui les a fait naître. On le sent, que Lucinda a encore des chansons en elle, qu'elle livrera encore au moins sur deux albums (Sweet Old World et Car Wheels on a Gravel Road). Cette densité, ce foisonnement, se dissiperont à partir d'Essence, album évanescent, avant de s'égarer dans l'excès, l'auto-indulgence, l'obstination... Cette obstination qui fut pourtant, au début, la qualité d'une femme qui a su s'imposer dans les années 80 (son album éponyme "country" étant publié en 1988 par Rough Trade, et non Columbia, rappelons-le). Il faut croire que Rough Trade avait su distinguer chez Lucinda quelque chose qui allait bien au-delà de la country mainstream qui dominait les radios de l'époque (en tout cas au Texas), une époque où l'on allait jusqu'à considérer la country des Emmylou Harris, Rosanne Cash ou Mary Chapin Carpenter comme "alternatives"!
Hugues,il faut ab-so-lu-ment que tu écrives un bouquin sur Lucinda.
BOOM BOOM- Langue pendue
- Nombre de messages : 1130
Age : 65
Date d'inscription : 06/04/2006
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Ces dernières 24 heures...
-Robert Wyatt "Rock bottom"
-Mary Gauthier "Between daylight and dark"
-Ramblin Jack Elliott "A stranger here"
-Joe Henry "Scar"
-Bill Frisell "Blues dream"
-Ray Charles "Modern sounds in country and western music" et "The genius hits the road"
-Jacno "T'es loin,t'es près" "Tant de temps" et "La part des anges".
-Robert Wyatt "Rock bottom"
-Mary Gauthier "Between daylight and dark"
-Ramblin Jack Elliott "A stranger here"
-Joe Henry "Scar"
-Bill Frisell "Blues dream"
-Ray Charles "Modern sounds in country and western music" et "The genius hits the road"
-Jacno "T'es loin,t'es près" "Tant de temps" et "La part des anges".
BOOM BOOM- Langue pendue
- Nombre de messages : 1130
Age : 65
Date d'inscription : 06/04/2006
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Enfin reçu! Et c'est excellent a priori.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
de retour d'un super concert Eric McFadden / Taste au Plan, enfin surtout pour le 1er nommé parce que le blues-rock de Taste me laisse un peu de marbre, tout en leur reconnaissant un indéniable talent. Mais c'était déjà le cas du temps de Rory Gallagher que j'ai pourtant adoré par la suite.
Je ne dirais pas que je me suis autant ennuyé qu'au concert de Gong (et je ne dis pas cela parce que j'y étais en compagnie de Goldillox ) mais c'est seulement le final quand ils ont invité McFadden à se joindre à eux qui m'a réveillé.
Je suis donc rentré chez moi avec le dernier album du sieur :
sur lequel qui sait je vais peut-être me voir dans la lucarne ... car il contient un dvd du concert au Café de la Danse en 2007 auquel j'étais ...
Et comme en plus dans ma boîte à lettres (à cd devrais-je dire) il y avait mon petit paquet du label Soleil Zeuhl
(Noir c'est noir ... et français français de grande qualité.)
j'ai de quoi divertir mes oreilles ce week-end au grand dam du reste de la famille !
J'en profite pour tirer un coup de chapeau à tous ces petits labels (Bad Reputation, Soleil Zeuhl dans le cas présent) qui font survivre la musique (qu'on aime ce qu'ils font ou pas, là n'est pas la question) ... mais pour combien de temps encore vu que l'on trouve déjà tous ces cd en torrent ou sur des blogs !
Je ne dirais pas que je me suis autant ennuyé qu'au concert de Gong (et je ne dis pas cela parce que j'y étais en compagnie de Goldillox ) mais c'est seulement le final quand ils ont invité McFadden à se joindre à eux qui m'a réveillé.
Je suis donc rentré chez moi avec le dernier album du sieur :
sur lequel qui sait je vais peut-être me voir dans la lucarne ... car il contient un dvd du concert au Café de la Danse en 2007 auquel j'étais ...
Et comme en plus dans ma boîte à lettres (à cd devrais-je dire) il y avait mon petit paquet du label Soleil Zeuhl
(Noir c'est noir ... et français français de grande qualité.)
j'ai de quoi divertir mes oreilles ce week-end au grand dam du reste de la famille !
J'en profite pour tirer un coup de chapeau à tous ces petits labels (Bad Reputation, Soleil Zeuhl dans le cas présent) qui font survivre la musique (qu'on aime ce qu'ils font ou pas, là n'est pas la question) ... mais pour combien de temps encore vu que l'on trouve déjà tous ces cd en torrent ou sur des blogs !
katou8- Langue pendue
- Nombre de messages : 413
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
groupe : BigElf
album : Cheat The Gallows
année : 2008
description du produit : leur "Sgt Pepper", c'est-à-dire une approche très Beatles période bleue, voire Bowie période Ziggy, de la mélodie vocale traitée rythmiquement parlant à la sauce Black Sabbath épicée d'un orgue à la Deep Purple, le tout saupoudré d'une orchestration enrichie en violons et cuivres.
C'est brillant, certes pompeux à la Queen, superbe ... mais laisse toutefois une drôle de sensation de "too much" et d'avoir déjà, en dépit du mélange original, pourtant déjà écouté ça dans une vie antérieure.
katou8- Langue pendue
- Nombre de messages : 413
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Le Shub Niggurath c'est une nouveauté ou une réédition ? Je ne connais pas cette pochette !
Bon le mieux c'est que j'aille faire mes courses chez Soleil Zeuhl...ce que je fais !
Bon le mieux c'est que j'aille faire mes courses chez Soleil Zeuhl...ce que je fais !
thiad- Langue pendue
- Nombre de messages : 1235
Date d'inscription : 23/04/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
les 2 mon capitaine !thiad a écrit:Le Shub Niggurath c'est une nouveauté ou une réédition ?
c'est en fait leur 1ère demo (qui contient Yog soggoth) datant de 82 et publiée uniquement en K7.
C'est particulièrement brillant, tout aussi bon, voire meilleur que le 1er album de 86, et, à mon goût, largement meilleur que les expérimentations extrêmes qui suivront. M'enfin ... avec un nom pareil ça peut difficilement être du Elton John !
katou8- Langue pendue
- Nombre de messages : 413
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là, en ce moment?
Merci. Intéressé je suis ! Soleil Zeuhl fait un travail salutaire de réédition...Ceux là on n'ira pas les télécharger.....enfin j'espère.....
thiad- Langue pendue
- Nombre de messages : 1235
Date d'inscription : 23/04/2005
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