LE FOLK
+8
thiad
parispal
Laurent78
BOOM BOOM
johnny99
godevin
Lee Harvey Oswald
Hugues
12 participants
Page 7 sur 8
Page 7 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Re: LE FOLK
LP, USA, 1960.
Recorded by Alan Lomax and Peter Kennedy in London in 1958 in a two-day session.
Side 1
I Drew My Ship (2:22)
The Irish Boy (1:36)
The Spermwhale Fishery (2:43)
Dennis O'Reilly (2:06)
My Bonny Miner Lad (1:51)
Just As the Tide Was Flowing (1:20)
Bobby Shaftoe (1:24)
Richie Story (4:07)
The Unquiet Grave (4:14)
Side 2
The Swapping Song (1:30)
Poor Old Horse (1:11)
The False True Love (3:51)
The Foggy Dew (2:26)
Mowing the Barley (0:56)
Scarborough Fair (1:40)
The Cruel Mother (7:04)
The Bonny Cuckoo (1:30)
The Queen of May (1:49)
Died for Love (1:50)
All track trad. arr. Shirley Collins, pub. Cacophony Music except
Track 1 trad. arr. John Stokoe, Shirley Collins
Track 3 trad. arr. A.L. Lloyd
Track 4 trad. arr. Edgar Waters, Shirley Collins
Track 5 Cosgrove, A.L. Lloyd
Tracks 8, 16 trad. arr. Ewan MacColl
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
1er album de Gordon Lightfoot, mars 66.
Side 1
Rich Man's Spiritual
Long River
The Way I Feel
For Lovin' Me
The First Time Ever I Saw Your Face
Changes
Early Mornin' Rain
Side 2
Steel Rail Blues
Sixteen Miles
I'm Not Sayin'
Pride of Man
Ribbon of Darkness
Linda
Peaceful Waters
Tout n'est pas génial chez Lightfoot, mais il y a une évidente poésie sur certains morceaux, celle qui donne envie de sortir au grand air. "Rich Man's Spiritual", "Long River", "Steel Rail Blues" et "Ribbon of Darkness" ont un charme éternel.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
2ème album, avril 1967.
Side 1
Walls 2:50
If You Got It 2:25
Softly 3:18
Crossroads 2:55
A Minor Ballad 3:10
Go-Go Round 2:35
Side 2
Rosanna 2:37
Home From the Forest 3:00
I'll Be Alright 2:20
Song for a Winter's Night 2:55
Canadian Railroad Trilogy 6:10
The Way I Feel 2:56
Ce qui est séduisant chez Lightfoot, c'est le son des accompagnements, guitares et tambourins, ça préfigure les Byrds tout en restant folk, comme chez Judy Collins quelques années plus tôt, mais Lightfoot a un côté plus country et baladin. Et puis finalement, il y a aussi un côté Buddy Holly chez Lightfoot.
Ces accompagnements donnent leur saveur à des chansons qui n'ont rien d'extraordinaire pour la plupart (comme "I'll Be Alright"), car elles sont assez conventionnelles musicalement. Je trouve qu'il n'y a pas de quoi s'extasier sur la "Canadian Railroad Trilogy" non plus. Les vrais petits moments de bonheur sur ce deuxième LP sont "If You Got It", "A Minor Ballad", "Go-Go Round" et "Home from the Forest". La version psyché de "The Way I Feel" (chanson qu'on trouvait déjà sur l'album précédent) était inutile (seule concession de Lightfoot à la mode du moment).
Dans l'ensemble, ce deuxième LP est plus vif, mélodique et enlevé que le précédent, mais a peut-être légèrement moins de charme. Le premier LP, en plus d'une superbe pochette, dégage un parfum de liberté bucolique et de solitude nomade finalement plus conséquent, tout en ayant quelques travers un peu plus vieillots, mais l'authenticité transcende la désuétude.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Mississippi John Hurt
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
J'appelle cela de la perfection:
Du haut niveau à tout point de vue: paroles, chant, jeu, musique.
Pour cette femme la musique est un moyen d'expression comme un autre, c'est une artiste à part entière (elle est aussi peintre), dont le souci premier est d'épanouir son univers sensoriel. C'est pourquoi on trouve cette homogénéité dans la maîtrise de tout ce qui constitue la chanson.
Du haut niveau à tout point de vue: paroles, chant, jeu, musique.
Pour cette femme la musique est un moyen d'expression comme un autre, c'est une artiste à part entière (elle est aussi peintre), dont le souci premier est d'épanouir son univers sensoriel. C'est pourquoi on trouve cette homogénéité dans la maîtrise de tout ce qui constitue la chanson.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Sandy Denny & Anne Briggs
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
En écoute
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Shirley Collins : False True Lovers (1960).
Une voix de fontaine, une grâce de jet d’eau, au cou de cygne. Une fraîcheur ample et abreuvante. Ample et souple comme un vol de colombe. Certains jours sont plus clairs que d’autres. Certaines aubes vous délaient l’espace sensoriel, vous purifient, vous apportent un calme, un apaisement ancestral, antérieur, pré-natal.
Le folk anglais a la verdeur des jardins de Haydn ou Handel. L’Europe a des vallées douillettes, douces, intimes. On y trouve des maisons de bois patiné, notamment du côté de la Hollande, de l’Allemagne, de la Suisse, de l’Alsace, des Vosges. Les maisons ont l’air de maquettes. L’idée du bonheur y est propre, claire, nette.
La voix de Shirley Collins remonte jusqu’aux souvenirs les plus pudiques de Jadis. La dignité des demoiselles, la noblesse, la vertu de la virginité. Il y a les chansons traditionnelles françaises, comme « Aux Marches du Palais », que rappellent les ballades traditionnelles anglaises chantées par Shirley Collins. Le luth médiéval, les tableaux de Watteau.
Shirley a une voix de gorge, profonde et blanche, comme un puits de jouvence, une source, un nectar. Elle chante à l’ancienne dit-elle, de façon un peu maladroite, naïve. Cette naïveté, cette maladresse, c’est une innocence magique, intouchable. Cette voix a cette qualité d’être trop pure, trop intime et pudique (d’une pudeur impudique, à vous faire rougir), pour « faire l’unanimité ». Elle ne va pas conquérir un comité, à moins que ce comité se recueille dans l’atmosphère de la confidence, du mot doux.
Pourtant, Shirley ne livre pas de ces messages d’amour idylliques que l’on garde secrets. Son répertoire est composé d’histoires traditionnelles, du genre qu’on partage en public. Paradoxe, sans doute, entre l’objectif, et le procédé. C’est là que Shirley parle de maladresse, sans doute. Mais c’est dans cet « accident », rencontre indélibérée, troublante, entre l’artiste et l’audience, que se produit le miracle. L’artiste ne comprend pas lui-même ce qui se passe.
Le folk de Shirley Collins n’appartient pas aux années 60. Il était déjà un retour aux sources. Le folk traditionnel a pour objectif de faire ressusciter l’art d’Antan. Il a le souci de préserver, il a le goût de l’Histoire. C’est son point commun avec la country. Certains artistes de ces deux genres partagent une sensibilité d’archiviste. Il faut garder à l’esprit la noblesse de cette sensibilité. L’Homme préserve sa Dignité en gardant la mémoire du passé.
Le passé m’émeut. Je suis souvent profondément ému en voyant à la télévision de vieilles images du passé. Tout un monde oublié se rappelle à nous. On pense à tous ces gens, toutes ces vies, aujourd’hui révolues, mais qui furent aussi vivantes, aussi présentes, aussi denses que les nôtres aujourd’hui. Evoquer le Passé, c’est comme penser à son prochain, c’est profondément Humain. C’est voyager à tous les temps, à travers toutes les âmes.
False True Lovers m’a empli de sève. Les branches des arbres sont des bras, les bras sont faits pour étreindre tendrement. Les arbres sont ma famille. Les animaux sont mes amis. Le jardin est mon domaine. Le folk de Shirley Collins est mon dôme originel, du couffin au cercueil. Aux abords chante le ruisseau de l’Eternité.
Une voix de fontaine, une grâce de jet d’eau, au cou de cygne. Une fraîcheur ample et abreuvante. Ample et souple comme un vol de colombe. Certains jours sont plus clairs que d’autres. Certaines aubes vous délaient l’espace sensoriel, vous purifient, vous apportent un calme, un apaisement ancestral, antérieur, pré-natal.
Le folk anglais a la verdeur des jardins de Haydn ou Handel. L’Europe a des vallées douillettes, douces, intimes. On y trouve des maisons de bois patiné, notamment du côté de la Hollande, de l’Allemagne, de la Suisse, de l’Alsace, des Vosges. Les maisons ont l’air de maquettes. L’idée du bonheur y est propre, claire, nette.
La voix de Shirley Collins remonte jusqu’aux souvenirs les plus pudiques de Jadis. La dignité des demoiselles, la noblesse, la vertu de la virginité. Il y a les chansons traditionnelles françaises, comme « Aux Marches du Palais », que rappellent les ballades traditionnelles anglaises chantées par Shirley Collins. Le luth médiéval, les tableaux de Watteau.
Shirley a une voix de gorge, profonde et blanche, comme un puits de jouvence, une source, un nectar. Elle chante à l’ancienne dit-elle, de façon un peu maladroite, naïve. Cette naïveté, cette maladresse, c’est une innocence magique, intouchable. Cette voix a cette qualité d’être trop pure, trop intime et pudique (d’une pudeur impudique, à vous faire rougir), pour « faire l’unanimité ». Elle ne va pas conquérir un comité, à moins que ce comité se recueille dans l’atmosphère de la confidence, du mot doux.
Pourtant, Shirley ne livre pas de ces messages d’amour idylliques que l’on garde secrets. Son répertoire est composé d’histoires traditionnelles, du genre qu’on partage en public. Paradoxe, sans doute, entre l’objectif, et le procédé. C’est là que Shirley parle de maladresse, sans doute. Mais c’est dans cet « accident », rencontre indélibérée, troublante, entre l’artiste et l’audience, que se produit le miracle. L’artiste ne comprend pas lui-même ce qui se passe.
Le folk de Shirley Collins n’appartient pas aux années 60. Il était déjà un retour aux sources. Le folk traditionnel a pour objectif de faire ressusciter l’art d’Antan. Il a le souci de préserver, il a le goût de l’Histoire. C’est son point commun avec la country. Certains artistes de ces deux genres partagent une sensibilité d’archiviste. Il faut garder à l’esprit la noblesse de cette sensibilité. L’Homme préserve sa Dignité en gardant la mémoire du passé.
Le passé m’émeut. Je suis souvent profondément ému en voyant à la télévision de vieilles images du passé. Tout un monde oublié se rappelle à nous. On pense à tous ces gens, toutes ces vies, aujourd’hui révolues, mais qui furent aussi vivantes, aussi présentes, aussi denses que les nôtres aujourd’hui. Evoquer le Passé, c’est comme penser à son prochain, c’est profondément Humain. C’est voyager à tous les temps, à travers toutes les âmes.
False True Lovers m’a empli de sève. Les branches des arbres sont des bras, les bras sont faits pour étreindre tendrement. Les arbres sont ma famille. Les animaux sont mes amis. Le jardin est mon domaine. Le folk de Shirley Collins est mon dôme originel, du couffin au cercueil. Aux abords chante le ruisseau de l’Eternité.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Lee Harvey Oswald a écrit:Ben ouais j'ai écouté tous les disques de John Martyn, tu crois quoi gringo.
Je serais redac' chef d'une revue musicale, ce serait mon premier critère de sélection de mes pigistes, connaitre toute sa discographie.
Bon j'espere que tu as fait le bon choix pour le Sandy Denny, lequel tu as pris ?
Je découvre ce forum et donc ce topic.
Le nom de John Martyn m'a fait réagir car une connaissance m'a fait découvrir son album de reprise "The church ...".
Quelle découverte, quelle claque !!!! J'adore ses interprétations, va voix, ..... Depuis j'ai pris "Solid Air" et "Grace and Danger" mais que je n'ai pas encore écouté.
"The church " indétronable pour maoi mais si tu as une suggestion ...... ?
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
Bienvenue sur ce forum.
A écouter en priorité de John Martyn :
-"Bless The Weather".71...des harmonies obésantes et une fabuleuse science de la guitare avec notamment un grand sens du riff acoustique. Une fêlure dans charque morceau.
Le disque qui est cité en réference dans les anthologies un peu sérieuses.
-"Solid Air".73...un disque de brume et de pluie...si tu aimes l'hiver et les tristesses des après-midi au ralenti...
-"Inside Out".73...son disque le plus "habité" mais le moins accessible, avec un jeu de guitare qui ressemble par endroits à celui de Robert Fripp, des accords cassés, explosés. Musique complexe mais régulierement fascinante.
A écouter en priorité de John Martyn :
-"Bless The Weather".71...des harmonies obésantes et une fabuleuse science de la guitare avec notamment un grand sens du riff acoustique. Une fêlure dans charque morceau.
Le disque qui est cité en réference dans les anthologies un peu sérieuses.
-"Solid Air".73...un disque de brume et de pluie...si tu aimes l'hiver et les tristesses des après-midi au ralenti...
-"Inside Out".73...son disque le plus "habité" mais le moins accessible, avec un jeu de guitare qui ressemble par endroits à celui de Robert Fripp, des accords cassés, explosés. Musique complexe mais régulierement fascinante.
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Tiens au fait, il paraît que le nouvel album des Decemberists, sorti cette année, retrouve l'univers du folk anglais. Je l'ai acheté (je n'ai encore jamais écouté ce groupe de près, bien qu'en ayant entendu parler), je suis curieux d'écouter ça. Ils citent Shirley Collins ou Anne Briggs (dont l'album emprunte un titre d'album de celle-ci) au nombre de leurs idoles.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Pas écouté le dernier album des Decemberists, mais dans "Crane Wife", c'est vrai que les guitares tissaient déja dans la même tonalité anglaise, douce et sophistiquée...Un bon groupe ça, les Decemberists, c'est ce genre de groupe qu'il faudrait mettre en avant dans les magazines rock, pas les vieilles badernes à la Calvin Russell et son boogie texan tout mité.
Dernière édition par Lee Harvey Oswald le Lun 14 Sep - 23:23, édité 1 fois
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Lee Harvey Oswald a écrit:Bienvenue sur ce forum.
A écouter en priorité de John Martyn :
-"Bless The Weather".71...des harmonies obésantes et une fabuleuse science de la guitare avec notamment un grand sens du riff acoustique. Une fêlure dans charque morceau.
Le disque qui est cité en réference dans les anthologies un peu sérieuses.
-"Solid Air".73...un disque de brume et de pluie...si tu aimes l'hiver et les tristesses des après-midi au ralenti...
-"Inside Out".73...son disque le plus "habité" mais le moins accessible, avec un jeu de guitare qui ressemble par endroits à celui de Robert Fripp, des accords cassés, explosés. Musique complexe mais régulierement fascinante.
Merci de tes conseils.
Sur Amazon, concernant "Bless the Weather" et "Inside Out" il y a deux versions CD (et oui je n'ai pas de platine vynile) une de 1999 et autre de 2005 remastérisée. Laquelle privilégiée ?
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
J'ai sa discographie en vinyl...bon j'imagine la seconde version remastérisée...en plus je vois qu'il y a une palanquée d'inédits.
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Un conseil...écoute John Martyn au casque tant sa musique relève de nuances et de complexité harmonique.
Ca se joue souvent sur de petites touches, des changements de couleur très subtils...en cela je trouve qu'on peut le rapprocher beaucoup plus des grands noms de la musique brésilienne plutôt que de ses congénères folk. Et puis il y a le même fond de saudade.
Ca se joue souvent sur de petites touches, des changements de couleur très subtils...en cela je trouve qu'on peut le rapprocher beaucoup plus des grands noms de la musique brésilienne plutôt que de ses congénères folk. Et puis il y a le même fond de saudade.
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Lee Harvey Oswald a écrit:J'ai sa discographie en vinyl...bon j'imagine la seconde version remastérisée...en plus je vois qu'il y a une palanquée d'inédits.
Je te demandais au cas ou tu aurais certains de ces albums en cds car en règle générale les remasterisations me font toujours un peu peur. Peur d'un certain lissage pour une "propreté" mais qui du coup effece un peu d'âme.....
Je vais tenter par un (le mois prochain car j'ai un peu trop abuser ce moi) et j'aviserai J'voustiendrais au courant de mes impressions d'écoute
Merci encore
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
arden a écrit:
Sur Amazon, concernant "Bless the Weather" et "Inside Out" il y a deux versions CD (et oui je n'ai pas de platine vynile) une de 1999 et autre de 2005 remastérisée. Laquelle privilégiée ?
J'ai celle de 2005 concernant Bless the Weather, tu peux y'aller les yeux fermés.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: LE FOLK
Oui n'hésite pas à faire part ici de tes impressions sur ces disques.
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Hugues a écrit:arden a écrit:
Sur Amazon, concernant "Bless the Weather" et "Inside Out" il y a deux versions CD (et oui je n'ai pas de platine vynile) une de 1999 et autre de 2005 remastérisée. Laquelle privilégiée ?
J'ai celle de 2005 concernant Bless the Weather, tu peux y'aller les yeux fermés.
Cool je te remercie, je vais peut être me laisser tenter plus rapidement ..... c'est tout moi ça
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
Lee Harvey Oswald a écrit:Un conseil...écoute John Martyn au casque tant sa musique relève de nuances et de complexité harmonique.
Ca se joue souvent sur de petites touches, des changements de couleur très subtils...en cela je trouve qu'on peut le rapprocher beaucoup plus des grands noms de la musique brésilienne plutôt que de ses congénères folk. Et puis il y a le même fond de saudade.
Ca serait marrant d'écouter sur ma chaîne et sur mon baladeur si j'entends des subtilités. Pas par contre pas d'écoute au casque sur ma chaine
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
arden a écrit:sur mon baladeur
John Martyn ça fonctionne aussi sur ipod...mais gaffe quand tu marcheras en ville avec sa musique dans les oreilles, tu risques de voir tomber de la neige partout...
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Re: LE FOLK
Lee Harvey Oswald a écrit:arden a écrit:sur mon baladeur
John Martyn ça fonctionne aussi sur ipod...mais gaffe quand tu marcheras en ville avec sa musique dans les oreilles, tu risques de voir tomber de la neige partout...
ok je tacherai de m'en souvenir
arden- Langue pendue
- Nombre de messages : 64
Age : 52
Localisation : 78
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: LE FOLK
A la suite de votre conversation j'écoute John Martyn sur deezer, je m'attendais à un barde marmonnant, c'est tout le contraire, plus moderne que ce que je pensais, il joue parfois de l'électrique, des sonorités souvent jazzy, j'y jetterai une écoute plus organisée à l'occasion (là c'est un titre par ci, un autre par là)
johnny99- Langue pendue
- Nombre de messages : 2158
Date d'inscription : 25/05/2005
Re: LE FOLK
Déja dans cette vidéo, rien que de regarder la position des doigts sur sa guitare, c'est toute une expérience...prêtez par exemple attention à la manière dont il n'hésite pas à vriller dans la fausse note...
Lee Harvey Oswald- Langue pendue
- Nombre de messages : 1941
Localisation : Dallas
Date d'inscription : 23/04/2006
Page 7 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Sujets similaires
» NU Folk
» FOLK BLUES ACOUSTIQUE
» 10 albums folk
» [rock fm/pop/folk] y en a qui sont fan des hooters?
» Folk Furieuse
» FOLK BLUES ACOUSTIQUE
» 10 albums folk
» [rock fm/pop/folk] y en a qui sont fan des hooters?
» Folk Furieuse
Page 7 sur 8
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|