Numéro 53 - Avril 2007 ( disponible le Vendredi 13 )
Page 1 sur 1
Numéro 53 - Avril 2007 ( disponible le Vendredi 13 )
Brazil connection
Kestata ? Tépacontent ?
Vous savez, on me reproche souvent mes éditos. Enfin, on reproche à mes éditos d’en être… des éditos !… Oui, je sais, ça peut paraître paradoxal, mais bon, c’est ainsi… Toujours en colère, le Goof, jamais content… Vilain Goof, va, pas beau tout plein…
Pis, on tourne un peu autour du pot, là, il se répète, devient complètement gaga le Googoof…
Alors, bon, après toutes ces années (premiers éditos en… 83, quand même ! J’étions petit comme ça à l’époque, mais déjà en colère, hein, genre Schtoumpf grognon à tous les étages de mes petites aires corticales à moi que j’ai, vous savez ces zones déterminées de l’écorce cérébrale, d’où partent les voies de la motricité volontaire ou auxquelles aboutissent les différentes voies de la sensibilité consciente, dixit mon pote Larousse).
24 piges plus tard, j’ai enfin ouvert les yeux.
Et la lumière fût… aveuglante, pile poil par le trou de balle de la couche d’ozone, directement sur ma trogne !
Allez louyah, allez… Allez louyah, allez (sur un air de chant de supporters, ça passe mieux)… Ou alors : il est des nô-ô-tres, il est des nô-ô-tres, suivant la couleur du ballon.
Je me suis alors écrié, comme un seul homme (ça tombe bien, en même temps, parce que j’étais tout seul, au moment des faits, comme l’atteste le procès verbal de la maréchaussée sarkozienne) : « What a wonderful world ! », comme l’aurait dit Louis-la-trompette-dans-le-jazz-non-ce-n’est-pas-moi-qui-ai-marché-sur-la-lune-ni-gagné-le-tour-de-France-cyclisme-avec-une-demie-couille-en-bois.
Faut dire, aussi, que je suis papa Goofy, deux fois, pif paf ; alors, forcément, ça vous ouvre les petites fenêtres de la perception complètement différemment, la paternité, tout ça, savoir qu’on ne se vide pas les bourses pour rien, tout corps plongé, etc., vous connaissez le topo.
C’est bien simple, la transformation est encore plus radicale que lors du passage de chrysalide en Da brand new Goof…
Et, or, donc : la vie est belle. Vachement même.
Du coup, je n’ai rien d’autre à dire. Tout va bien. On ne peut pas rêver meilleur monde.
Même que je dédie ce numéro à tous les Indiens bleus, quelle que soit leur couleur de peau, futurs Indiens rouges de notre presque ex-planète bleue. Planète dont la couleur terminale n’est pas encore connue à ce jour. Dans les milieux autorisés chers à Coluche, premier Indien bleu en salopette à réglage ventral de sécurité, les spécialistes hésitent entre le noir carbonisé, le gris enfumé ou l’orange sec du trognon. À voir, pour ceux qui auront encore des yeux pour en rire…
Je dédie aussi ce numéro à notre futur génial président (ou présidente) de ce pays où, chaque jour, il fait de plus en plus bon vivre.
Oh oui, que la vie est belle…
Enfin, ce numéro est tout spécialement dédié à René Clairon, acteur invisible de Crossroads, pourtant bien présent dès le premier numéro, sans qui rien ne serait tout à fait pareil.
René, ce concert de Cheap Trick dont on a tant parlé, je vais redoubler d’efforts pour essayer de l’organiser. Pour toi et pour toi seulement. R.I.P.
Christophe Goffette
Goof et mini-Goofs
Kestata ? Tépacontent ?
Vous savez, on me reproche souvent mes éditos. Enfin, on reproche à mes éditos d’en être… des éditos !… Oui, je sais, ça peut paraître paradoxal, mais bon, c’est ainsi… Toujours en colère, le Goof, jamais content… Vilain Goof, va, pas beau tout plein…
Pis, on tourne un peu autour du pot, là, il se répète, devient complètement gaga le Googoof…
Alors, bon, après toutes ces années (premiers éditos en… 83, quand même ! J’étions petit comme ça à l’époque, mais déjà en colère, hein, genre Schtoumpf grognon à tous les étages de mes petites aires corticales à moi que j’ai, vous savez ces zones déterminées de l’écorce cérébrale, d’où partent les voies de la motricité volontaire ou auxquelles aboutissent les différentes voies de la sensibilité consciente, dixit mon pote Larousse).
24 piges plus tard, j’ai enfin ouvert les yeux.
Et la lumière fût… aveuglante, pile poil par le trou de balle de la couche d’ozone, directement sur ma trogne !
Allez louyah, allez… Allez louyah, allez (sur un air de chant de supporters, ça passe mieux)… Ou alors : il est des nô-ô-tres, il est des nô-ô-tres, suivant la couleur du ballon.
Je me suis alors écrié, comme un seul homme (ça tombe bien, en même temps, parce que j’étais tout seul, au moment des faits, comme l’atteste le procès verbal de la maréchaussée sarkozienne) : « What a wonderful world ! », comme l’aurait dit Louis-la-trompette-dans-le-jazz-non-ce-n’est-pas-moi-qui-ai-marché-sur-la-lune-ni-gagné-le-tour-de-France-cyclisme-avec-une-demie-couille-en-bois.
Faut dire, aussi, que je suis papa Goofy, deux fois, pif paf ; alors, forcément, ça vous ouvre les petites fenêtres de la perception complètement différemment, la paternité, tout ça, savoir qu’on ne se vide pas les bourses pour rien, tout corps plongé, etc., vous connaissez le topo.
C’est bien simple, la transformation est encore plus radicale que lors du passage de chrysalide en Da brand new Goof…
Et, or, donc : la vie est belle. Vachement même.
Du coup, je n’ai rien d’autre à dire. Tout va bien. On ne peut pas rêver meilleur monde.
Même que je dédie ce numéro à tous les Indiens bleus, quelle que soit leur couleur de peau, futurs Indiens rouges de notre presque ex-planète bleue. Planète dont la couleur terminale n’est pas encore connue à ce jour. Dans les milieux autorisés chers à Coluche, premier Indien bleu en salopette à réglage ventral de sécurité, les spécialistes hésitent entre le noir carbonisé, le gris enfumé ou l’orange sec du trognon. À voir, pour ceux qui auront encore des yeux pour en rire…
Je dédie aussi ce numéro à notre futur génial président (ou présidente) de ce pays où, chaque jour, il fait de plus en plus bon vivre.
Oh oui, que la vie est belle…
Enfin, ce numéro est tout spécialement dédié à René Clairon, acteur invisible de Crossroads, pourtant bien présent dès le premier numéro, sans qui rien ne serait tout à fait pareil.
René, ce concert de Cheap Trick dont on a tant parlé, je vais redoubler d’efforts pour essayer de l’organiser. Pour toi et pour toi seulement. R.I.P.
Christophe Goffette
Goof et mini-Goofs
Sujets similaires
» Numéro 56 - Eté 2007 ( disponible le Vendredi 13 )
» Numéro 55 - Juin 2007 ( disponible le Vendredi 15 )
» Numéro 50 - Janvier 2007 ( disponible le Vendredi 12 )
» Numéro 57 - Septembre 2007 ( disponible le Vendredi 14 )
» Numéro 31 - Avril 2005 (disponible Vendredi 15)
» Numéro 55 - Juin 2007 ( disponible le Vendredi 15 )
» Numéro 50 - Janvier 2007 ( disponible le Vendredi 12 )
» Numéro 57 - Septembre 2007 ( disponible le Vendredi 14 )
» Numéro 31 - Avril 2005 (disponible Vendredi 15)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|