Numéro 57 - Septembre 2007 ( disponible le Vendredi 14 )

Hello Kiddies

Time is on our side (yes it is !)

Voici venu le temps des rires et des chants…
Ouais, bon. Voici venir surtout le temps des changements, en tout cas et en tout état de cause. Et ouais, Brazil revenant en kiosques le 26 septembre (attendez, vous avez bien enregistré, là ? Je disais BRAZIL REVENANT EN KIOSQUES LE 26 SEPTEMBRE… Ah, c’est mieux) et, aussi, accessoirement, hanter les nuits de notre mascotte Bulle Caisson, ce cher gros nabab en peluche de peau de couilles de minimoy ; on s’est dit (enfin, surtout moi et un peu moi, pour être tout à fait honnête) que, tiens, hop, pendant qu’on y était, ça serait peut-être le moment de filer un coup de pinceau à ce vieux Crossroads un peu défraîchi, puisque, de fait, Brazil s’en allant à nouveau voltiger de ses propres ailes (au fait, vous ai-je dit que le premier numéro de ce Brazil2 sortait le 26 septembre ? Oui, mère-grand, LE 26 SEPTEMBRE !!!! Désolé, ma grand-mère devient un peu dure de la feuille)…
Or, donc, on en profite pour… changer de logo ! Carrément, rien que ça !… Bon, avouons toutefois que c’était un chouille dans l’air du temps (à Crossroads, c’est toujours le printemps) depuis un moment et qu’on s’est dit (enfin, majoritairement moi et moi aussi, parfois) : allez, zou, on tente le doublé du mouvement permanent par le truchement du changement dans la continuité. Ou un truc vachement compliqué comme ça, parce que, en toute humilié et sans fausse modestie, on n’est quand même pas des imbéciles, nous autres de la Bandits Company (le pays joyeux des lecteurs heureux), enfin essentiellement moi, et aussi un peu moi, dans les bons jours.
Voici donc, ci-après, à quoi ressemblera notre logo le mois prochain. Moche, je le concède, mais moins que maintenant, quand même. On progresse, quoi, par petites touches, un peu comme Brazil qui devient Brazil2 (en vente partout dès le 26 septembre. OUI, LE 26 SEPTEMBRE !!!). Même que c’est icelui qui le dit qui y est (sauf moi, moi, moi, moi, et quelques millions de chinois)…

Sa seigneurie Christophe Goffette tel qu’en lui-même