les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Baf, Russell Crowe en vigneron ça peut être aussi marrant que Depardieu
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
A mon avis, ils vont surement à la même cantine...le père Crowe n'a pas trop une tête à sucer des glaçons!!!!
Vintage- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Révélations de Michael Mann (Heat, ça aussi j'ai bien aimé à cause du rôle endossé par De Niro avec justesse, un duo qui passe bien pourtant pas évident de mettre Pacino avec De Niro) bref donc Révélations avec Al pacino et Russell "Depardieu" était un film réussi, prenant même si la sujet est revisité mais le traitement, le point de vue du réa est plutôt bien foutu.
fucking axel- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Monsieur et Madame Smith malgré leur nom de famille n'est pas un couple comme tout le monde ou alors va falloir faire des cures de rattrapage intensives sportives pour remuscler ma plastique, j'ai déjà mal partout en l'écrivant!
Disons Smith s'apparenterait au nom de code espion, se fondre dans l'ordinaire, une couverture, Smith Dupond Martin et Jackson c'est qui? justement ça peut être à ce niveau là tout le monde!
c'est un peu chiant car lent au démarrage mais dans l'ensemble ça manque de peps et de wizz et d'humour(deux trois clins d'oeil humoristiques pas plus).
c'est du léger même si lourd niveau artillerie déployée pour nous en mettre plein les mirettes.
Brad Pitt n'a pas l'étoffe de l'anti héros Bruce Willis dans Piège de Cristal...dommage.
Pourquoi suis je allée voir ce film?
humm bonne question...pourquoi devrait-il y avoir une réponse à tout...hein? ah!
C'était ma soirée récréation...
Disons Smith s'apparenterait au nom de code espion, se fondre dans l'ordinaire, une couverture, Smith Dupond Martin et Jackson c'est qui? justement ça peut être à ce niveau là tout le monde!
c'est un peu chiant car lent au démarrage mais dans l'ensemble ça manque de peps et de wizz et d'humour(deux trois clins d'oeil humoristiques pas plus).
c'est du léger même si lourd niveau artillerie déployée pour nous en mettre plein les mirettes.
Brad Pitt n'a pas l'étoffe de l'anti héros Bruce Willis dans Piège de Cristal...dommage.
Pourquoi suis je allée voir ce film?
humm bonne question...pourquoi devrait-il y avoir une réponse à tout...hein? ah!
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fucking axel- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Ai vu ce film et je le touve lamentable, sans réel humour (ou alors à deux balles comme dit ma fille), mal filmé, pas crédible sur le plan du scénar...juste un produit pour les midinettes et minets qui rêvent (de quoi??).
De toute façon les blockbusters m'emmerdent ; tous ces gens sains qui ne boivent pas, ne fument pas et baisent peu ou mal c'est d'un chiant...!!! Ma colère du jour!!
De toute façon les blockbusters m'emmerdent ; tous ces gens sains qui ne boivent pas, ne fument pas et baisent peu ou mal c'est d'un chiant...!!! Ma colère du jour!!
thiad- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Alexandre d'Oliver Stone: drôle de film que celui là où enfin de compte nous n'apprenons rien de ce roi aventurier. C'est le plus beau film de réalisateur " 2ème et 3ème équipe"...
Stone insiste lourdement sur les moeurs "bi" de ces guerriers et alors...bein rien....et puis on enchaîne les paysages comme dans une pub pour LOup Pérac ou Salvetat. Dans une contrée indienne nos macédoniens ont mal aux pieds et ils ne veulent plus suivre Alexandre...un sacré moment d'émotion!
Nous pouvons suivre pendant une demi-heure une bataille contre le roi Darius pour la prise de Babylone...trop long...
Comment Alexandre a-t-il fait pour dompter ces fleuves, percer les montagnes, survivre au temps avec 150 milles hommes? Avancer...avancer....ça c'est pas dans le film...
Anthony Hopkins encore plus laid que le père Fourras déambule dans un décors numérique affreux...les acteurs ne sont pas mauvais mais le casting est raté... comme le film.
Stone insiste lourdement sur les moeurs "bi" de ces guerriers et alors...bein rien....et puis on enchaîne les paysages comme dans une pub pour LOup Pérac ou Salvetat. Dans une contrée indienne nos macédoniens ont mal aux pieds et ils ne veulent plus suivre Alexandre...un sacré moment d'émotion!
Nous pouvons suivre pendant une demi-heure une bataille contre le roi Darius pour la prise de Babylone...trop long...
Comment Alexandre a-t-il fait pour dompter ces fleuves, percer les montagnes, survivre au temps avec 150 milles hommes? Avancer...avancer....ça c'est pas dans le film...
Anthony Hopkins encore plus laid que le père Fourras déambule dans un décors numérique affreux...les acteurs ne sont pas mauvais mais le casting est raté... comme le film.
Vintage- Langue pendue
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Date d'inscription : 07/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Et paf encore des économies à faire ! Qu'est-ce que c'est que ces films totalement creux qui ne "montrent rien" sous un déluge d'images ??
A+
A+
thiad- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Qu'est-ce que c'est que ces films totalement creux qui ne "montrent rien" sous un déluge d'images ??
Un fast movie...aussi tôt vu, aussi tôt digéré! reste souvent une odeur de graillon!
Vintage- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
bien vu...tout à fait ça.
L'image sous ton pseudo me fait penser que je suis en train de lire le bouquin de H-S-THOMPSON La grande chasse au requin.
L'image sous ton pseudo me fait penser que je suis en train de lire le bouquin de H-S-THOMPSON La grande chasse au requin.
thiad- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Hier soir sur le satellite passait un film des Marx brothers : ça me plaît toujours autant :bounce: mes enfants ont regardé et ont trouvé ça bien, même avec les sous-titres. :idea:
thiad- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Les Marx Brothers transgressent beaucoup d'interdit, ils ne seront jamais démodé aux yeux des enfants!
Vintage- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Cabin fever: une série B d'horreur assez soignée qui ne fait pas peur, sans grand intérêt.
Serpico: Pacino chez Sidney Lumet en flic incorruptible. Belle dénonciation sur les grandes institutions sclérosées par ceux même qui doivent les faire vivre et respirer. Un polar classique des années 70.
Serpico: Pacino chez Sidney Lumet en flic incorruptible. Belle dénonciation sur les grandes institutions sclérosées par ceux même qui doivent les faire vivre et respirer. Un polar classique des années 70.
Vintage- Langue pendue
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Date d'inscription : 07/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
A propos de Mr et Mrs Smith
Je vais très rarement au cinéma et avec ce film là, pour une fois j'ai rigolé. Généralement le cionéma, ça m'endort : je me suis endormi pour StarGate, Pulp Fiction, Star Wars ( pas le 3 ) et Le seigneur des anneaux. Sans doute d'autres aussi.
A la télé, j'ai tenté de rattraper des films que j'ai loupé. Amélie Poulain ( bof ), Le goût des autres ( un cauchemard, j'ai trouvé ça nullissime, banal, fade, sans consistance ! ), Le bonheur est dans le prés ( j'ai beaucoup aimé ! ) et Le diner de cons ( idem ).
Moi et le cinéma ça fait Les gags faciles, ça me va très bien.
axel a écrit:
Pourquoi suis je allée voir ce film?
humm bonne question...pourquoi devrait-il y avoir une réponse à tout...hein? ah!
C'était ma soirée récréation...
Je vais très rarement au cinéma et avec ce film là, pour une fois j'ai rigolé. Généralement le cionéma, ça m'endort : je me suis endormi pour StarGate, Pulp Fiction, Star Wars ( pas le 3 ) et Le seigneur des anneaux. Sans doute d'autres aussi.
A la télé, j'ai tenté de rattraper des films que j'ai loupé. Amélie Poulain ( bof ), Le goût des autres ( un cauchemard, j'ai trouvé ça nullissime, banal, fade, sans consistance ! ), Le bonheur est dans le prés ( j'ai beaucoup aimé ! ) et Le diner de cons ( idem ).
Moi et le cinéma ça fait Les gags faciles, ça me va très bien.
Laurent78- Langue pendue
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Date d'inscription : 08/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
pendant pulp fiction tu as ?
hein? ah!
hein? ah!
fucking axel- Langue pendue
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Date d'inscription : 08/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
axel a écrit:pendant pulp fiction tu as ?
hein? ah!
Bein moi aussi et mon plus gros roupillon de ces 10 dernières années au ciné fut....Jackie Brown!!!
Vintage- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
axel a écrit:pendant pulp fiction tu as ?
hein? ah!
Oui, c'est vrai que Tarantino c'est pas mal pour le sommeil !
Laurent78- Langue pendue
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La merche de l'empereur
J'ai lu un article assez marrant d'Alain Rémond, dans "Marianne", à propos de "La Marche de l'empereur". Il paraît que les commentaires de Berling et Bohringer sont particulièrement lourds, pénibles. Ils font dans l'anthropomorphisme exacerbé, "papa manchot, maman manchot"...
Or le film est sorti aux Etats-Unis, dans une nouvelle version, avec une voix off bien plus objective, commentaires lus par Morgan Freeman. D'autre part, les Américains ont supprimé la musique "scie-nerfs" !
Alain Rémond exige que l'on ressorte le film dans la version américaine !
Or le film est sorti aux Etats-Unis, dans une nouvelle version, avec une voix off bien plus objective, commentaires lus par Morgan Freeman. D'autre part, les Américains ont supprimé la musique "scie-nerfs" !
Alain Rémond exige que l'on ressorte le film dans la version américaine !
walpurgis- Langue pendue
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Date d'inscription : 08/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Beaucoup de gens sont de cet avis, par exemple au Masque et la Plume...
Cela dit, le DVD peut se voir sans musique ni commentaires...
Cela dit, le DVD peut se voir sans musique ni commentaires...
Re: La merche de l'empereur
Pintoux a écrit:J'ai lu un article assez marrant d'Alain Rémond, dans "Marianne", à propos de "La Marche de l'empereur". Il paraît que les commentaires de Berling et Bohringer sont particulièrement lourds, pénibles. Ils font dans l'anthropomorphisme exacerbé, "papa manchot, maman manchot"...
Or le film est sorti aux Etats-Unis, dans une nouvelle version, avec une voix off bien plus objective, commentaires lus par Morgan Freeman. D'autre part, les Américains ont supprimé la musique "scie-nerfs" !
Alain Rémond exige que l'on ressorte le film dans la version américaine !
ça rend bien débile l'anthropomorphisme!!! en même temps faut toujours qu'on exacerbe aussi notre coté cucul la praline...le documentaire marche mieux aux Etats Unis qu'en France (il s'approche des 60M de $ et devient le deuxième succès français au Box Office américain juste derrière le 5ème Elephant de Bul Caisson)...
Mardi soir,j'ai revu le film d'Arnaud Desplechin...Esther Kahn, l'histoire d'une jeune fille qui se plonge corps et âme dans le théatre...c'est un film austère et puissant avec la magnifique et magnétique Summer Phoenix....c'est une bataille contre sa famille, ses origines, la société londonnienne du début 20è S...son combat intérieur est encore plus violent pour enfin se donner aux autres.
J'aime ce film.
Vintage- Langue pendue
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Date d'inscription : 07/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
countrysongs a écrit:axel a écrit:pendant pulp fiction tu as ?
hein? ah!
Oui, c'est vrai que Tarantino c'est pas mal pour le sommeil !
j'aime beaucoup l'univers décalé de Tarentino qui m'a toujours tenu en éveil donc je ne peux pas être ok et me demande en quoi as tu pu succomber à une endormissite aïgue pendant pulp fiction, explique moi dans le détail?
fucking axel- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
J’ai maté une flopé ce mois ci de nanars navets et autres joyeusetés !
Père et fille de Kévin Smith (encore un de la lignée des Smith?)
C’est du poids léger mais c'est mimi tout plein (je fais dans la guimauve....période relâche, finalement je suis une GRANDE SENTIMENTALE)
En résumé le futur papa perd sa compagne donc la future maman et doit s'occuper de sa progéniture.
Un petit jeu sans conséquence théâtral de Bernard Rapp (adaptation d’une pièce de théâtre, ça bouge à peine..), l’amour n’est pas un jeu mais il devient un test de fidélité. Crédible.
Dis moi oui d’Alexandre Arcadie subtilité d’une liaison répréhensible par la loi, il est plus vieux que la douce et tendre petite étrangère qui vient chercher frapper son coeur, peu ordinaire, à la recherche du grand A. Le film peut apparaître mièvre, c’est lèger certes mais il est question d’amour, un peu de légèreté dans ce monde de brute met du baume à l’âme.
Mon beau père mes parents et moi de Jay roach réalisateur du papa d’Austin Powers.
J’ai évité le 1 mais n’est pas échappé à celui là….po drôle, très gras…
Tristan de Philippe Harel tel est prise Mathilde qui croyait prendre, je la trouve mauvaise actrice, le film en résumé est un serpent qui se mord la queue.
La Vie privée de Sherlock Holmes de Billy Wilder, so british…un brin ennuyeux, un brin charmant, une certaine répartie dans le dialogue, de bon ton….
La bande du drugstore=prolonger l’instant, se préparer à l’acte d’aimer, le tester en provoquant l’autre. Le film sans prétention voir sans grand intérêt sauf si c’est pas vraiment l’heure de se pieuter donne une jolie description du corps et de son langage, parler, écrire c’est beau mais pas suffisant….ça ne remplacera jamais un baiser, une étreinte.
Père et fille de Kévin Smith (encore un de la lignée des Smith?)
C’est du poids léger mais c'est mimi tout plein (je fais dans la guimauve....période relâche, finalement je suis une GRANDE SENTIMENTALE)
En résumé le futur papa perd sa compagne donc la future maman et doit s'occuper de sa progéniture.
Un petit jeu sans conséquence théâtral de Bernard Rapp (adaptation d’une pièce de théâtre, ça bouge à peine..), l’amour n’est pas un jeu mais il devient un test de fidélité. Crédible.
Dis moi oui d’Alexandre Arcadie subtilité d’une liaison répréhensible par la loi, il est plus vieux que la douce et tendre petite étrangère qui vient chercher frapper son coeur, peu ordinaire, à la recherche du grand A. Le film peut apparaître mièvre, c’est lèger certes mais il est question d’amour, un peu de légèreté dans ce monde de brute met du baume à l’âme.
Mon beau père mes parents et moi de Jay roach réalisateur du papa d’Austin Powers.
J’ai évité le 1 mais n’est pas échappé à celui là….po drôle, très gras…
Tristan de Philippe Harel tel est prise Mathilde qui croyait prendre, je la trouve mauvaise actrice, le film en résumé est un serpent qui se mord la queue.
La Vie privée de Sherlock Holmes de Billy Wilder, so british…un brin ennuyeux, un brin charmant, une certaine répartie dans le dialogue, de bon ton….
La bande du drugstore=prolonger l’instant, se préparer à l’acte d’aimer, le tester en provoquant l’autre. Le film sans prétention voir sans grand intérêt sauf si c’est pas vraiment l’heure de se pieuter donne une jolie description du corps et de son langage, parler, écrire c’est beau mais pas suffisant….ça ne remplacera jamais un baiser, une étreinte.
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fucking axel- Langue pendue
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Date d'inscription : 08/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Final Cut de Omar Naim juste représention de ce qu’il reste de notre « propre vécu », ce que l’on transforme au fil des années, ce qu’il est bon de préserver, ce qui nous arrange. On ne peut pas tout réparer, ni effacer nos erreurs, ni vivre sa vie par procuration.
Le spectateur assiste à une mise en abyme de la technologie et de son "P"ouvoir soit le film dans le film avec le cadre de votre écran, le cadre filmique: le champ (ce qui est prit par l'objectif et ce qui apparait à notre regard) et le cadre vu par l'acteur ou les acteurs en présence, inclu l'iris, l'oeil de tous les protagonistes dans le cadre et hors cadre=nous!
Il y a une superposition des images ("sur"cadrage). Une sorte de jeu de cartes que l'on brasserait avant la partie.
Nous avons un monteur(des) chargé de réaliser un film de souvenirs, les derniers, l'ultime pour que les vivants les proches puissent faire leur deuil de la personne disparu.
Nous avons le montage du film de Omar Naim mais également le montage des films qui existent à l'intérieur du film.
Le protagoniste principal est un monteur, un film est la résultante d'un choix de montage, un enchainement pensé selon une ligne directrice suivant une idée, celle du réalisateur.
Nous avons une démultiplication des regards.
Ce qui est très intéressant est la notion de temps: passé présent furtur proche, projection vers l'avenir, le destin auquel on ne peut échapper.
Le film fonctionne comme une ligne de vie: un enfant pleure parce qu'il vient de naître tandis qu'un homme expire à l'autre bout de la planète. Ligne de vie qui est fragmentée par les détails quotidiens les habitudes, les manies. Le travail, la famille: les repas, les loisirs et dormir comme chaque être humain se plie à ce mode de fonctionnement journalier même si les préoccupations et conduites peuvent dévier d'une sensibilité à une autre.
Dans cette quête à la fois spirituelle car la religion revêt un autre visage et se destine à un autre public, la cible est changée, je me voue au dieu technologie avancée qui manipule, je me réfugie dans d'autres sphères pour échapper à ma réalité qui ne me satisfait pas ou plus. Il y a aussi le temps du film de Omar Naim, le temps que dure ces derniers instants de vie des décédés que l'acteur principal qui veut expier une faute manipule, supprime, remanie des rushs selon des désirs, cherche le pardon. Ici cet homme se sacrifie, se coupe du plaisir et de la jouissance, il ne peut aimer les autres si il ne s'aime pas lui même.
L'homme est également un voyeur, qui se nourrit de la vie des autres, toujours dans cette même idée que la sienne ne répond pas à ses attentes, frustrante, il vit celle des autres, c'est une manière de se rassurer et d'accomplir aussi ce que seul le rêve est capable de combler. Le plus grand fantasme d'un homme serait de pouvoir lire dans l'esprit d'un autre.
qui n'a jamais voulu être une petite souris pour se glisser dans l'intimité de son voisin ou d'un proche...
Le spectateur assiste à une mise en abyme de la technologie et de son "P"ouvoir soit le film dans le film avec le cadre de votre écran, le cadre filmique: le champ (ce qui est prit par l'objectif et ce qui apparait à notre regard) et le cadre vu par l'acteur ou les acteurs en présence, inclu l'iris, l'oeil de tous les protagonistes dans le cadre et hors cadre=nous!
Il y a une superposition des images ("sur"cadrage). Une sorte de jeu de cartes que l'on brasserait avant la partie.
Nous avons un monteur(des) chargé de réaliser un film de souvenirs, les derniers, l'ultime pour que les vivants les proches puissent faire leur deuil de la personne disparu.
Nous avons le montage du film de Omar Naim mais également le montage des films qui existent à l'intérieur du film.
Le protagoniste principal est un monteur, un film est la résultante d'un choix de montage, un enchainement pensé selon une ligne directrice suivant une idée, celle du réalisateur.
Nous avons une démultiplication des regards.
Ce qui est très intéressant est la notion de temps: passé présent furtur proche, projection vers l'avenir, le destin auquel on ne peut échapper.
Le film fonctionne comme une ligne de vie: un enfant pleure parce qu'il vient de naître tandis qu'un homme expire à l'autre bout de la planète. Ligne de vie qui est fragmentée par les détails quotidiens les habitudes, les manies. Le travail, la famille: les repas, les loisirs et dormir comme chaque être humain se plie à ce mode de fonctionnement journalier même si les préoccupations et conduites peuvent dévier d'une sensibilité à une autre.
Dans cette quête à la fois spirituelle car la religion revêt un autre visage et se destine à un autre public, la cible est changée, je me voue au dieu technologie avancée qui manipule, je me réfugie dans d'autres sphères pour échapper à ma réalité qui ne me satisfait pas ou plus. Il y a aussi le temps du film de Omar Naim, le temps que dure ces derniers instants de vie des décédés que l'acteur principal qui veut expier une faute manipule, supprime, remanie des rushs selon des désirs, cherche le pardon. Ici cet homme se sacrifie, se coupe du plaisir et de la jouissance, il ne peut aimer les autres si il ne s'aime pas lui même.
L'homme est également un voyeur, qui se nourrit de la vie des autres, toujours dans cette même idée que la sienne ne répond pas à ses attentes, frustrante, il vit celle des autres, c'est une manière de se rassurer et d'accomplir aussi ce que seul le rêve est capable de combler. Le plus grand fantasme d'un homme serait de pouvoir lire dans l'esprit d'un autre.
qui n'a jamais voulu être une petite souris pour se glisser dans l'intimité de son voisin ou d'un proche...
Dernière édition par le Ven 16 Sep - 11:43, édité 2 fois
fucking axel- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Enorme coup de gueule pour le DVD de Derzou Ouzala...ce DVD édité par MK2 (et même MK2 Russia!!!!!) est une véritable honte...l'image, le son, les bonus, saucissonage du film sur deux galettes...un Dvd Dégueulasse pour un Chef d'Oeuvre...La famille Karmitz vaut pas mieux que les autres!!!
Vintage- Langue pendue
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Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
Ce WE, j'ai maté:
11:14: un film au scénario saucissonné très habilement (voir l'avis de Goof) qui confère autant à la débilité qu'à la prouesse...un teenage movie sympatoche.
MOI, PETER SELLERS: Goeffrey Rush est dérangeant de justesse...le film en lui même est très bôf, on dirait un téléfilm, d'ailleurs c'est un téléfilm HBO.
11:14: un film au scénario saucissonné très habilement (voir l'avis de Goof) qui confère autant à la débilité qu'à la prouesse...un teenage movie sympatoche.
MOI, PETER SELLERS: Goeffrey Rush est dérangeant de justesse...le film en lui même est très bôf, on dirait un téléfilm, d'ailleurs c'est un téléfilm HBO.
Vintage- Langue pendue
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Date d'inscription : 07/04/2005
Re: les films à partager ou à éviter (Afficher les spoilers)
The Aviator de Martin Scorcese
Le réalisateur se spécialise dans le biocaprio.
Les images sont belles, l'histoire assez proche de la réalité pour ceux qui connaissent le personnage à la marge, passionné et traumatisé.
Moins chiants à voir qu'à lire peut-être.
Ce qui me dérange le plus, c'est le visage enfantin de Dicaprio, le temps ne semble pas avoir de prise sur sa personne. Ce visage lisse enlève tout relief et consistance au personnage qu'il interprète. Du début à la fin, il reste intacte.
Mais en même temps, Howard Hughes s'est fabriqué une sphère comme le baquet dans lequel petit sa mère le lavait. Ce visage presque sans expressions, sans rides renforce ce désir de préserver son corps de toutes attaques extérieures.
Le réalisateur se spécialise dans le biocaprio.
Les images sont belles, l'histoire assez proche de la réalité pour ceux qui connaissent le personnage à la marge, passionné et traumatisé.
Moins chiants à voir qu'à lire peut-être.
Ce qui me dérange le plus, c'est le visage enfantin de Dicaprio, le temps ne semble pas avoir de prise sur sa personne. Ce visage lisse enlève tout relief et consistance au personnage qu'il interprète. Du début à la fin, il reste intacte.
Mais en même temps, Howard Hughes s'est fabriqué une sphère comme le baquet dans lequel petit sa mère le lavait. Ce visage presque sans expressions, sans rides renforce ce désir de préserver son corps de toutes attaques extérieures.
Dernière édition par le Dim 25 Sep - 18:11, édité 1 fois
fucking axel- Langue pendue
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