Quelques livres qui vous ont marqué

(une petite sélection autrement la liste serait trop
longue !!!)

Toute jeune :
le viel homme et la mer - Hemingway
Silberman - Jacques de la Cretelle

After : sans ordre précis
Mon ange - Guillermo Rosales
Les derniers jours de Charles Baudelaire - Bernard Henry Lévy
Big Sur, le Vagabond solitaire - Jack kerouac
L’arrache-coeur, l’herbe rouge, l’écume des jours, j’irai
cracher sur vos tombes.... - Boris Vian
Mort à crédit - Céline
Des souris et des hommes - John Steinbeck
Ensemble c’est tout - Anna Gavalda
Soie - Alessandro Baricco
L’équilibre du monde, la leçon de natation - Rohinton Mistry
Dis-moi qui tuer, la moitié d’une vie - VS Naipaul
La tache - Philipp Roth
Romans et nouvelles - Carson Mac Cullers
Monsieur Vertigo (et tous ceux du même sieur) - Paul Auster
Les âmes grises - Philippe Claudel
Un secret - Philippe Grimbert
Sous les vents de neptune (et tous ceux de la même miss) -
Fred Vargas
Tous les Serge Brussolo
Cargo vie - Pascal de Duve
La pluie ne change rien au désir - Viviane Olmi
La conjuration des imbéciles - John Kennedy Toole (tiens
il faut absolument que je vous parle de celui-là !!!)
Falaises - Olivier Adam

Et vous ?

Tout Kerouac
Ginsberg er G-Corso
Rimbaud et Lautréamont
Proust, la Recherche....
Celine, Le Voyage..
Georges Hyvernaud et Leon Werth (tout)
Tout Nietzsche

La conjuration des imbéciles est excellent, vraiment

Des polars et de la Sf

et plein d'autres auteurs auxquels je ne pense pas là...

J'ai pas aimé du tout "La conjuration des imbéciles" (trop systématique; ça ne m'a pas fait rire du tout, je trouve l'ensemble lourdingue, ce qui colle bien au sujet, hé, hé, hé). Mais dans un genre un peu similaire, mais 'achtement mieux (forcément, hein, puisque c'est mon opinion à moi que j'ai) : "Le seigneur des porcheries", de Tristan Egolf : beaucoup plus ancré dans la réalité, quoique tout autant débridé...
Sinon :
Russel Banks : Affliction (et à peu près tout de Banks, d'ailleurs).
Brady Udall : Lâchons les chiens
Column McCann : Les saisons de la nuit
J'ai aussi eu ma période Paul Auster, mais j'ai lâché depuis une calamiteuse crotte anthropomorphiste sur un clébard qui pense façon Télé 7 JOurs...
Bukowski (mais pas à trop grosses doses)

Garcia Marquez : Cent ans de solitude (le bouquin qui m'a remis à la lecture au sortir de l'adolescence)

Cervantès : Don Quichotte (Que dire ? J'avais les jetons en l'attaquant et, vraiment, c'est 1500 pages de bonheur total, d'une poésie fabuleuse, d'une drôlerie incroyable, qui vous nourrit le cerveau et la reflexion pour longtemps... le "pire", c'est que ça se lit même assez facilement, malgré l'extrêrme densité de l'écriture. Bref, un monument, certes, mais pas de ceux qui vous écrase, bien au contraire...).

Jose Saramago : Tous les noms (Reflexion sur la liberté dans la société moderne et l'identité. Ecriture très originale et évolutive, avec de longues phrases sinueuses, tout en demeurant émotionnelle. Le traîtement du sujet évoque bien sûr Kafka, notamment dans la sensation d'absurdité face à la machinerie sociale, mais aussi Brazil).

Boris Vian : "J'voudrais pas crever" (LE texte qui me fout un noeud dans la gorge et le passe en machine), "L'Automne à Pékin" (le genre de bouquin qui a l'air de ne pas y toucher mais qui recèle des trésors derrière un paravent d'absurde).

Primo Levi : tout... Au-delà de "Si c'est un homme..." (témoignage nécessaire, humanisme, nia nia nia... mais qui le lit encore ???), "La trêve" qui raconte la libération d'Auschwitz et l'épique voyage de retour des survivants (galerie de portraits extraordinaire, mélange de mort et de retour à la vie d'une intensité presque trop grande -il ne s'agit pas là d'un roman) ainsi que ses essais et recueils d'articles, notamment "Les naufragés et les rescapés" ou "Le système périodique". Levi est seulement connu comme un écrivain de la shoah, alors qu'il me semble qu'il est d'abord un "moraliste" d'une grande rigueur, jamais complaisant, à l'écriture fluide et doué d'une grande clarté de raisonnement... Lucide... Aussi ces bouquins, quoique partant de l'expérience concentrationnaire, demeurent totalement d'actualité.

Italo Calvino et Dino Buzzati : j'aime (j'adore!) ces deux écrivains un peu pour les mêmes raisons que Saramago, bien qu'ils oeuvrent sous des formes différentes de celles employées par le Nobel portugais (qui privilégie le roman, à tendance petit pavé). Des récits courts, que l'on pourrait souvent qualifier de contes philosophiques, bourrés d'un humour sous-jacent qui s'apparente à un gai désespoir, à un étonnement perpétuel face à la complexité de l'existence, contredite par la certitude la mort et de la solitude infranchissable (cf "Le désert des Tartares" pour Buzzati). Ils comptent parmi ces écrivains qui vous avivent l'intelligence, vous prennent par la main pour vous emmener amicalement vers des contrées que vous ne pensiez même plus à fréquenter, vous élèvent en vous faisant la courte échelle.

Côté essais, un net penchant pour ce qui tourne autour du temps et de son appréhension (dont le classique "Une brève histoire du temps" de Hawking...)

Et puis pour un prochain post, je vous causerai en rond, en barge et en pervers de Manuel Scorza ("Roulements de tambours pour Rancas"), Pierre Autin-Grenier (auteur de ce titre inoubliable : "Toute une vie bien ratée"), Cioran ("Histoire et utopie"), Cavanna, Albert Londres, Steinbeck, Heminghway, Artur Koestler ("Le zéro et l'infini") et quelques autres...

Tiens, ce sujet ne devrait-il pas plutôt se retrouver au pub ?

Tout Baudelaire et Rimbaud, et Verlaine jusqu'en 1875 à peu près.

Sinon j'aime pas mal d'autres trucs, mais rien - en littérature - ne m'a autant marqué que ces trois poètes-là. Je ne saurais même pas expliquer pourquoi (sans doute parce que je n'y ai jamais vraiment réfléchi).

intéressant, non?

Catfish a écrit:Tiens, ce sujet ne devrait-il pas plutôt se retrouver au pub ?

Si, plutôt. Pour rattraper le coup, faudrait rajouter des liens.

Tu veux encore faire le ménage Acho ????

invitée a écrit:Tu veux encore faire le ménage Acho ????

non je veux rien du tout, j'ai juste répondu à Catfish

[quote="Catfish"]J'ai pas aimé du tout "La conjuration des imbéciles" (trop systématique; ça ne m'a pas fait rire du tout, je trouve l'ensemble lourdingue, ce qui colle bien au sujet, hé, hé, hé).


Cat je ne m'attendais pas à rire en lisant la conjuration des imbéciles mais plutôt à voir jusqu'où pouvait aller la bêtise humaine ! Son auteur s'est suicidé à 31 ans, encore un qui est mort sans savoir qu'il possédait un réel talent !

Effectivement Cent ans de solitude de Marquez est à conseiller à tous ceux qui croient encore que lire est ennuyeux.

Primo Levi...qui le lit ? ben moi et Antelme aussi.

Et Cervantès...comment ai-je pu l'oublier ? Tout est déjà là..j'ai bien dit, tout.

Après bien des choses vous paraissent fadasses ou au mieux bien foutues....roublardes, quoi !

Catfish a écrit:
Ils comptent parmi ces écrivains qui vous avivent l'intelligence, vous prennent par la main pour vous emmener amicalement vers des contrées que vous ne pensiez même plus à fréquenter, vous élèvent en vous faisant la courte échelle.

Tout ce que j'aime, idem en musique.

Causons un peu de Pierre Autin-Grenier. Il a enfin bénéficié d’une distribution correcte avec son dernier ouvrage, «Bar-Friterie Brunetti»… et bien entendu ce n’est pas le meilleur… à mon avis…
Cet auteur français (quel importance ? Euh… aucune !) tourne toujours autour de petites histoires très simples, de reflexions personnelles bourrées d’auto-dérision et du sentiment d’inutilité absolue de la vie, ainsi que de l’acte d’écrire… Ecrire pourquoi ? Pour le goût de l’illusion, le rêve de la fraternité. Ecrire quand même… Autin-Grenier est un écrivain du temps qui passe et des rides qui se creusent, résolument réfractaire à la vitesse, à la société de consommation. Anar sans idéal (à part l’andouillette et le chablis !), pour éviter l’idéologie.Son style est de plus en plus épuré au fil du temps : virez-moi ces mots qui viennent trop facilement, laissez s’établir le silence entre les lignes. Autin-Grenier écrit avec ses lecteurs, établit une complicité, avoue ses pannes, ses pages empoubellés à peine noircies, la lassitude, les joies infantiles, les élans soudains d’espoir et de courage qui sombrent dans le crachin.
Ecriture artisanale, très personnelle, d’un amoureux du mot juste, mais s’amusant de ses effets de manche (inversions verbe-substantif, exclamations, prise à parti du lecteur, autoréférence…), qu’il exhibe comme un illusionniste qui révélerait ses trucs après chaque tour.
«Je ne suis pas un héros», «Toute une vie bien ratée», «L’éternité est inutile» forment la trilogie «Une histoire» (mais chaque volume peine à dépasser les cent pages) d’une simplicité et d’une sincérité naïve et parfois bouleversante, Autin-Grenier possédant cette rare qualité de tremper sa plume dans les larmes de rire aussi bien que de sang. Plus poète que romancier, d’ailleurs, plus «noteur» que «auteur», comme dans «Les Radis Bleus», réflexions au fil du calendrier, parfois trois lignes, parfois trois pages, aphorismes et prises sur le vif.
Après toute une carrière dans l’ombre, Autin-Grenier a donc reçu un petit brin de lumières depuis peu, je ne suis pas certain que ce soit la position qui lui convienne le mieux : il avoue d’ailleurs dans «Friterie-Bar Brunetti» que ce livre ne doit son existence qu’à l’insistance de l’éditeur, parce qu’il faut bien vivre.
En attendant, je vous conseille très, très fortement (et très amicalement) «Toute une vie bien ratée» et «Les radis bleus» : Autin-Grenier est une voix vraiment à part, parce que profondément humaine, il a du talent, il est libre. ça vaut bien d’y laisser cinq ou six euros pour voir…

Primo Levi, je l'ai lu et jamais oublié, comme d'autres auteurs : Jorge Semprun (le grand voyage au sujet de l'expérience des camps et notamment le passage où à travers une interstice, dans un wagon , il imagine la vie au-delà, ses souvenirs de la saveur du vin de Moselle, de paysages verdoyants, ... toutes ces réminiscences, antidotes au désespoir )
Dans le même ordre d'idée: une journée d'Ivan Denissovitch de Soljenitsyne, l'autre face, quotidienne, de l'univers concentrationnaire, soviétique cette fois. Le zéro et l'infini , Arthur Koestler, fin de l'illusion communiste (volontairement, je ne fais pas de différence avec le stalinisme) avec ce procès et ce long calvaire , à rapprocher d'autres oeuvres comme : l'aveu, d'Arthur London, un auteur : Orwell, d' essais sur les totalitarismes, ceux d'Hannah Arendt, de Castoriadis et d'ouvrages historiques sur le régime nazi et la révolution bolchevique . En-dehors de l'Histoire qui m'intéresse beaucoup , des histoires:
Celles de Daeninckx, de J-P Manchette et la Série noire qui mélangeaient les deux ( Histoire, actualité politique, descriptions sociologiques, péripéties individuelles), celles des auteurs de romans noirs, surtout américains, qui utilisent la narration pour décrire la jungle urbaine et les ravages, du libéralisme et de l'individualisme forcené (Pelecanos, James Lee Burke...).
Don Delillo qui, en un chapitre étourdissant, et à travers le récit d'un match mythique de base-ball, sur la pelouse et hors terrain, fait revivre une décennie de l'histoire américaine . En enchevêtrant divers destins : jeunes resquilleurs, célébrités (Hoover, Sinatra...) de personnages présents lors de cete journée, fiction et histoire, à force de feed-backs, il réussit le tour de force d'accomplir une vastemétaphore : Outremonde, des Etats-Unis au temps de la guerre froide .
Mon premier roman noir : des souris et des hommes , Steinbeck, qui m'a ouvert, dès l'adolescence, à la littérature américaine m'a fait fuir le confinement narcissique et la pauvreté des "intrigues"des romans parisiens de la littérature "blanche", chère au "Monde des livres" et à Philippe Sollers . L'accès au grands espaces, via la Louisiane, l'Ouest, le Montana ( J.Crumley, Mac Guane, R.Hugo...), le Michigan (J. Harrison) et au cosmopolitisme new-yorkais ( J.Charyn et son maître, I.B .Singer, P. Auster, H.Selby . Ellroy, sur l'autre rive et Kérouac dérivant au milieu, jusqu'"au pays du coeur" , le Mexique (v. le film , trois enterrements .) Melville, Conrad rénissant : tempêtes existentielles, exotisme, écriture novatrice et nature déchaînée .
Pour revenir en Europe , le voyage au bout de la nuit, peut-être le plus lucide et un des plus marquants sur le plan de l'évolution du style, à mon avis .
De très nombreux "polars", Montalban, Mendoza, Camillieri qui ont su acclimater ces vieilles ficelles narratives, comme l'avaient fait Hammett et Chandler avant eux Outre-atlantique, à notre vieux continent alors un peu figé par l'autosatisfaction.
L'humour des joyeux trappeurs de Jorn Riel , les road-movies des dépressifs gais de Paasilina ( le lièvre de Vaatanen), plus jubilatoires que les films de Kaurismaki . ...etc, etc ...
Bon , voilà, je me suis encore laissé entraîné... C'est Fanny, l'invitée, qui nous a provoqués aussi ...

Je n'apprécie pas trop Autin-Grenier . Je pourrais développer, mais tu sembles tellement enthousiaste que je crains de t'agacer, peut-être devrais-je attendre que d'autres forumers s'y plongent pour donner d'autres avis ? Je sais qu'il est parfois pénible, voire douloureux, de lire des critiques, toujours trop subjectives bien sûr, au sujet de textes ou de musiques auxquels on tient . Mais peut-être , est-ce faire preuve de trop de sensiblerie, dans un forum infesté de rockers au cuir rugueux, mais au coeur tendre ?

bottleneck a écrit:Je n'apprécie pas trop Autin-Grenier . Je pourrais développer, mais tu sembles tellement enthousiaste que je crains de t'agacer, peut-être devrais-je attendre que d'autres forumers s'y plongent pour donner d'autres avis ? Je sais qu'il est parfois pénible, voire douloureux, de lire des critiques, toujours trop subjectives bien sûr, au sujet de textes ou de musiques auxquels on tient . Mais peut-être , est-ce faire preuve de trop de sensiblerie, dans un forum infesté de rockers au cuir rugueux, mais au coeur tendre ?

Ne te gêne pas ! Faut pas pousser, on peut débattre… et nous ne sommes pas obligés d’aimer les mêmes choses. Je reconnais qu’Autin-Grenier peut être agaçant, car il laboure souvent le même sillon, et on peut y trouver un certain apitoiement… je crois que ça fait partie du personnage (comme chez Cavanna), comme ses crises d’optimisme jamais très longues. Autin-Grenier est un pessimiste, en fait qui tente de «vivre heureux en attendant la mort», comme disait un autre.

Alexandre Vialatte, dans ses chroniques, savaient donner à des activités ordinaires et quotidiennes des dimensions presque métaphysiques. "Les moins que rien " avec Autin-Grenier inversent cette démarche. Autant Vialatte utilisait un matériau, la banalité, pour être inventif . On (j') l'impression qu'A-G de contente d'aligner les clichés, en les resservant bruts sur la nappe cirée, sans les réécrire, le poncif, l'ordinaire seraient inventifs . On n'est pas loin parfois "des brèves de comptoir" . Exemples : "la réelle vacuité de nos existences, la frigilité du Bidochon, notre pouvoir de décider nos vaut pas tripette, l'homme-infime particule de poussière qui se fait hara-kiri en permanence"... Conversations de bistrot qui équivaudraient à des créations philosophico-littéraires, le sens commun et les expressions familières, parce qu'ils sont collectifs, rapprochent et remplacent souvent l'audace stylistique, comme toute ambition (quelqu'elle soit ). Autour d'un plat "authentique" : terrine de lièvre, blanquette, andouillette, amenées par une serveuse dévouée qui recueille en même temps que les assiettes sales les doutes cosmiques des consommateurs rougeauds . Je force un peu le trait, mais tout cela me semble, généreux soit, mais un peu démago et cela manque d'air, d'action, c'est de la littérature franchouillarde sans suspense et système nerveux, qui s'apitoie après un déjeuner trop copieux .

bottleneck a écrit:
C'est Fanny, l'invitée, qui nous a provoqués aussi ...

Je sais, j'ai un don pour faire parler les gens... tiens pendant l'inquisition déjà.... ils faisaient appel à moi !
ça va fourmiller de bonnes idées dans ce topic, yes !!!!

Ai acheté lundi vite fait un coffret de 3 Pelecanos (c'était au poids !!!) : King Suckerman, Suave comme l'éternité, Funky guns...
tu m'dis mon Bottle si j'ai bien choisi ????

Septentrion de Calaferte !!

Jean Rhume a écrit:Septentrion de Calaferte !!

mille millions de mille sabords! saperlipopette! par tous les saints! enfer! palsembleu!

Bottleneck, je voudrais bien te répondre, mais là faut vraiment que je bosse. Hé ! Tu sais quoi (même si ça n’a rien de rien à voir avec Autin-Grenier) : moi, j’aime bien les Brèves de comptoir… Une de mes préférés :
Si les cons volaient, tu… Non… T’es tellement con que tu ne décollerais même pas.

invitée a écrit:Ai acheté lundi vite fait un coffret de 3 Pelecanos (c'était au poids !!!) : King Suckerman, Suave comme l'éternité, Funky guns...
tu m'dis mon Bottle si j'ai bien choisi ????

Impeccable! Un coffret directos! Toi, tu fais confiance au moins ! Pourvu que ça te plaise...gasp ! Y a t-il un triple album de James Taylor que je puisse t'imiter .

Catfish a écrit:Bottleneck, je voudrais bien te répondre, mais là faut vraiment que je bosse. Hé ! Tu sais quoi (même si ça n’a rien de rien à voir avec Autin-Grenier) : moi, j’aime bien les Brèves de comptoir… Une de mes préférés :
Si les cons volaient, tu… Non… T’es tellement con que tu ne décollerais même pas.

Cette "puissante" et très ancienne maxime, qui appartient à Audiard, a été recopiée dans les brèves de comptoir apparemment .
Tu n'as pas beaucoup de temps, mais le trouve quand même pour m'insulter, sans ménagement et sans beaucoup d'esprit ...
Je suis très désagréablement surpris par le ton de ta réponse, je m'attendais à tout à fait autre chose de la part de quelqu'un qui aime débattre . J'avais pourtant pris des précautions avant de te donner mon avis sur cet auteur et n'ai pas voulu te vexer avec cette mini-critique sans arrière-pensées .
Mais peu importe, ce ne sont pas les forumers courtois et cultivés qui manquent ici...

[quote="bottleneck"]

invitée a écrit:Ai acheté lundi vite fait un coffret de 3 Pelecanos (c'était au poids !!!) : King Suckerman, Suave comme l'éternité, Funky guns...
tu m'dis mon Bottle si j'ai bien choisi ????

Impeccable! Un coffret directos! Toi, tu fais confiance au moins ! Pourvu que ça te plaise...gasp ! Y a t-il un triple album de James Taylor que je puisse t'imiter .[/quote

Wait and see !!!!

bottleneck a écrit:

Catfish a écrit:Bottleneck, je voudrais bien te répondre, mais là faut vraiment que je bosse. Hé ! Tu sais quoi (même si ça n’a rien de rien à voir avec Autin-Grenier) : moi, j’aime bien les Brèves de comptoir… Une de mes préférés :
Si les cons volaient, tu… Non… T’es tellement con que tu ne décollerais même pas.

Cette "puissante" et très ancienne maxime, qui appartient à Audiard, a été recopiée dans les brèves de comptoir apparemment .
Tu n'as pas beaucoup de temps, mais le trouve quand même pour m'insulter, sans ménagement et sans beaucoup d'esprit ...
Je suis très désagréablement surpris par le ton de ta réponse, je m'attendais à tout à fait autre chose de la part de quelqu'un qui aime débattre . J'avais pourtant pris des précautions avant de te donner mon avis sur cet auteur et n'ai pas voulu te vexer avec cette mini-critique sans arrière-pensées .
Mais peu importe, ce ne sont pas les forumers courtois et cultivés qui manquent ici...

Argh ! Mais pas du tout, Bottleneck ! Ce n’était pas du tout pour toi !!!! C’est juste que j’adore cette phrase ! Faut pas voir le mal partout !
Ceci rectifié, je ne savais pas que c’était d’Audiard...
C’est normal ce message qui est arrivé en MP et qui fait tic-tac tic-tac ?