Réactions sur les prochaines sorties: les bandes annonces

Gilliam est un peu du genre à faire du Gilliam...
voir l'historique du projet...quand même pas piqué des hanetons!!

un lien plus pratique.
Watch it now!!!
http://movies.channel.aol.com/franchise/exclusives/the_brothers_grimm_movie

Je suis allé voir cet après-midi BATMAN BEGINS:
On passe de l'univers gothique de Burton à un réalisme tranchant cher à Christopher Nolan.
Les personnages (héros et méchants) sont donc des êtres quasi-normaux sans laser dans les yeux, de griffes dans les poings et de balaie magnétique dans le cul. Michael Caine dans le rôle d'Alfred est parfait. Christian Bale est bôf.

Je me suis ennuyé....beaucoup...le scénario trauma-enfance dure trois plombes, les scènes de combats sont bouillesques et la mise en scène dans son ensemble est...classique pour rester poli.
C'est mou du genou partout. C'est dommage car l'univers proposé tient la route...( au contraire de celui des schumacher!!!)mais Nolan n'était sans doute pas l'homme de la situation.

C'est étrange comme sensation comme dans l'idée d'être passé à coté d'un truc sympa.

La bande annonce est prévu Lundi

première image
http://www.movienewz.com/mnews.html#kong00)

Nicolas Cage dirigé par le réalisateur de Blade et de Dardevil!!!!!
Bonne chance!

Il l'a pas l'air truffe sur sa moto volé au Tuning show du Touquet.

j'ai toujours eu un peu de mal avec cet acteur niveau physique, il joue bien mais quand il sourit il me fait peur!!

non plus sérieusement, un problème d'attirance, un de ces acteurs qui intimide, imprévisible!!

pour la photo: tu peux toujours l'envoyer au roi du tuning!!
il a rien du motard roi du burn show, il a un petit air de James Dean dans la Fureur de Vivre ou de John Travolta dans Grease....
J'ai mieux"Fonzy" est de retour.
ce genre de photo me renvoie au mythe du bon sauvage "tarzan avec sa gomina" sauf que là c'est le motard...
euh les motards c'est des durs de durs...euh les types ex: au bol d'or ils crament leur motos comme hendrix cassaient ses guitares!
ils sont carrément imbibés d'essence, de bière et ils sentent la frite!!
y'a deux ans, concert de iggy pop, ça rigolait pas ça chauffait grave(dixit mon frangin)
non j'exagere c'est l'image stereotypée mais ça existe(si si mon frangin les a vu!!!non mon frere ne s'appelle pas david vincent...)

je ne me lasse pas de le voir et re....même si il va falloir attendre!!

http://www.apple.com/trailers/wb/corpse_bride/large.html

Oui, ça m'a l 'air d'être superchouettte extrafou...

Le réalisateur est Tim Burton ou Henry Sellick (le réal de James et la Pêche Géante)?

Réalisé par Mike Johnson, Tim Burton et michael johnson
j'ai trouvé les infos sur allo oui? et le lien pour le trailer!
je te fais confiance pour mettre des photos j'arrive pas je suis nulle!! ça m'agace!!

LA BA du KING KONG de Peter Jackson!!
http://www.kingkongmovie.com/ef239524432ba87f1ca8f70eed4b1fa7/en_splash.html

ça se confirme:

LUC BESSON: UN FILM TOP-SECRET AVEC JAMEL




Le gentil magnat barbu du cinéma français tournera cet été, dans le plus grand secret, une comédie policière avec Jamel Debbouze en vedette. Titre inconnu, casting et scénario itou... Le film devrait sortir le 21 décembre prochain sur... 900 copies.

Luc Besson travaille parallèlement sur son long métrage d'animation, Arthur, inspiré d'une série de livres pour enfants. Jamel Debbouze songe quant à lui à adapter Le Petit Nicolas de René Goscinny, renommé Le Petit Rachid.

Vintage a écrit:ça se confirme:

LUC BESSON: UN FILM TOP-SECRET AVEC JAMEL

Titre inconnu, casting et scénario itou... Le film devrait sortir le 21 décembre prochain sur... 900 copies.

heuuuu scénario inconnus .... production besson .... je voudrais juste rappeler que les scénarios de Banlieu 13, de Fanfan la tulipe et des Yamakazi sont toujours inconnus.. faut pas s'étonner de pas connaître un scénario d'une prod besson lui même n'est pas au courant.

Chose assez original ...le nombre de copies est connus avant le scénario... cela montre quand même la volonté première du film : faire du fric et non un réel travail de cinéma :|

Vintage a écrit:ça se confirme:

LUC BESSON: UN FILM TOP-SECRET AVEC JAMEL

Le gentil magnat barbu du cinéma français tournera cet été, dans le plus grand secret, une comédie policière avec Jamel Debbouze en vedette. Titre inconnu, casting et scénario itou... Le film devrait sortir le 21 décembre prochain sur... 900 copies.

Luc Besson travaille parallèlement sur son long métrage d'animation, Arthur, inspiré d'une série de livres pour enfants. Jamel Debbouze songe quant à lui à adapter Le Petit Nicolas de René Goscinny, renommé Le Petit Rachid.

Bon, la dernière c'est une blague, le reste j'en sais rien! C'est pas bien de nous embrouiller avec des mélanges d'infos et de blagues!

Non la dernière c'est même pas une blague, c'est ça le plus drôle...ahahahaha!!!!

Vintage a écrit:Non la dernière c'est même pas une blague, c'est ça le plus drôle...ahahahaha!!!!

Incroyable. Et bien tu vas rire: je suis curieux de voir ça!

Pour information voici la vraie DOMINO HARVEY, ex-mannequin reconvertie "chasseuse de prime", jolie jeune fille reconnue pour défouraller plus vite son ombre...mannequin préférée de Winchester...
[/url]

xxxx

LE MYSTERE OZU


Cité en modèle par de nombreux cinéastes (Wim Wenders, Aki Kaurismäki), Yasujirô Ozu reste un metteur en scène relativement méconnu pour le spectateur occidental. Affublé à tort d'une réputation d'extrême lenteur, son cinéma simple et émouvant a pourtant une dimension universelle et intemporelle. Quiconque découvre aujourd'hui Voyage à Tokyo, sans doute son chef-d'oeuvre, est frappé par la modernité du regard d'Ozu et son infinie délicatesse pour évoquer des sujets aussi difficiles que la vieillesse ou la mort. Pour fêter le centenaire de sa naissance, Hou Hsiao-Hsien lui a rendu un bel hommage avec Café lumière. Retour sur un cinéaste hors norme, expert pour décrire les fêlures humaines.


LA REVOLUTION EN DOUCEUR


De Yasujirô Ozu, le grand public ne connaît finalement que la partie émergée de l'iceberg, principalement ses derniers films, les plus sereins et stricts sur le plan de la mise en scène, et ignore la première partie de sa filmographie, celle d'avant l'avènement du cinéma parlant. Pour bien comprendre l'impact du cinéma d'Ozu sur les réalisateurs contemporains, il faut en effet revenir aux origines de son parcours et saisir sa démarche artistique. Plus que tout autre réalisateur, il n'aura de cesse d'épurer son style, de revenir à la matière essentielle, les acteurs et le scénario, de débarrasser sa mise en scène de tout effet superflu. Les mouvements d'appareil et les effets de montage seront ainsi peu à peu bannis de son vocabulaire. Pourtant, dans ses oeuvres de jeunesse des années 20 et 30, il n'hésitait pas à imiter le cinéma américain. Alors amoureux d'Ernst Lubitsch, fasciné par la perfection technique des productions hollywoodiennes, il peaufinait avec l'aide d'un scénariste comédies romantiques et policiers (dont la plupart sont désormais hélas invisibles). Cette première carrière, qui constitue en nombre l'essentiel de la filmographie d'Ozu (trente des cinquante-quatre longs métrages du maître sont muets) est souvent ignorée à l'heure de l'analyse. Le réalisateur est réduit pour ses détracteurs à la mise en scène monolithique de ses derniers films, considérée comme une tare alors qu'elle marque juste une évolution intellectuelle, une façon de penser le cinéma


LA PARABOLE DU CUISINIER


Pour Yasujirô Ozu, une fois qu'un cinéaste a trouvé sa signature, il ne doit pas en changer. Il se comparait souvent à un cuisinier qui réaliserait chaque jour le même plat pour atteindre la perfection. "Je dis toujours que je suis un restaurateur de tofu, qui ne fait que du tofu. Une même personne ne peut pas créer des films si différents les uns des autres. D'ailleurs, on ne mange pas correctement dans un grand restaurant où l'on trouve de tout. Même s'ils apparaissent identiques aux yeux de tous, mes films expriment tous des choses différentes et j'y trouve un intérêt toujours renouvelé. Exactement comme un peintre qui s'évertue à toujours dessiner la même rose." (extrait de Ozu ou l'anti-cinéma de Kiju Yoshida, Actes Sud). Une approche du cinéma qui explique certainement sa réticence à abandonner le muet puis le noir et blanc, pour finalement céder aux sirènes de la modernité par souci d'appliquer les directives du studio. Dès Gosses de Tokyo en 1932, Yasujirô Ozu va perfectionner une narration et une mise en scène très personnelle, presque minimaliste dans laquelle la perfection des cadrages rivalise avec la douceur des rares mouvements de caméra. Son genre de prédilection sera tout naturellement les shomin-geki, récits sur la vie simple des Japonais de son temps. Son dispositif formel lui permet d'esquisser dans les moindres détails les élans qui traversent ses personnages d'anti-héros engoncés dans la routine de la vie quotidienne. Rires, pleurs, temps qui passe et qui porte à vif les cicatrices du passé: la caméra d'Ozu capte le moindre bruissement, le moindre soupir.


SIMPLE ET FUNKY


"Les films d'Ozu parlent du long déclin de la famille japonaise, et par-là même, du déclin d'une identité nationale. Ils le font, sans dénoncer ni mépriser le progrès et l'apparition de la culture occidentale ou américaine, mais plutôt en déplorant avec une nostalgie distanciée la perte qui a eu lieu simultanément. Aussi japonais soient-ils, ces films peuvent prétendre à une compréhension universelle. Vous pouvez y reconnaître toutes les familles de tous les pays du monde ainsi que vos propres parents, vos frères et soeurs et vous-même. Pour moi le cinéma ne fut jamais auparavant et plus jamais depuis si proche de sa propre essence, de sa beauté ultime et de sa détermination même: de donner une image utile et vraie du 20ème siècle." (Wim Wenders, extraits de Tokyo-Ga, documentaire sur le cinéaste nippon). On ne saurait mieux définir les thèmes abordés par le cinéaste. Ozu aimait les jeux de correspondance entre ses longs métrages, s'exerçant même à l'art du remake de ses propres oeuvres avec Bonjour, Herbes flottantes et Fin d'automne, comme un peintre qui reviendrait sans cesse dessiner le même modèle pour mieux en cerner les infinies subtilités. Décédé en 1963, le jour même de son 60ème anniversaire, Yasujirô Ozu a quitté le cinéma avant d'être reconnu sur le plan international. On ne lui connaît ni de vie privée, ni d'héritier légitime - son style est demeuré unique -, Ozu reste un mystère bien gardé



Yannick Vély

Jean-Pierre Marielle rejoint le casting du Da Vinci Code... :lol:

Nouveau trailer de The Corpse Bride (peu de nouvelles images)...
http://movies.yahoo.com/feature/timburtonscorpsebride.html