TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
moi je n'ai rencontré aucun pbm niveau qualité image et son.
fucking axel- Langue pendue
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Gros article sur Tideland...
http://movies.monstersandcritics.com/archive/moviearchive.php/Tideland/1366/cat_tab1
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
c'est hunter S Thompson ça!
quand ce n'est pas frenchy c'est donc son frère qui fait des siennes!! :DD
j'aime assez ce cliché qui résume bien le perso!
quand ce n'est pas frenchy c'est donc son frère qui fait des siennes!! :DD
j'aime assez ce cliché qui résume bien le perso!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Ahhhhhhhhhhhhhh......!!!!!!!!!!!!!!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Hier 25 Octobre 2005, les Frères Grimm atteignaient le million d'entrées, je dis youpi en toute discrétion: youpi!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
A Londres pour l'avant-première de BG, Terry Gilliam a précisé qu'il était tout près, tout prêt de retrouver les droits de Quichotte...voir même un tournage pour le printemps 2006!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Coucou les petits loups,
Juste en passant… J'envisage de faire une nouvelle soirée au Grand Rex début mars prochain. Avec trois films, que des avant-premières. En présence des équipes. Devinez quels films ???? ah ah… Facile…
Ah oui, de source interne au distributeur, la sortie de Tideland semble enfin définie et définitive pour le 26 avril… Y'a plus qu'à compter les jours…
cg
Juste en passant… J'envisage de faire une nouvelle soirée au Grand Rex début mars prochain. Avec trois films, que des avant-premières. En présence des équipes. Devinez quels films ???? ah ah… Facile…
Ah oui, de source interne au distributeur, la sortie de Tideland semble enfin définie et définitive pour le 26 avril… Y'a plus qu'à compter les jours…
cg
GOOF- Rang: Administrateur
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Après ce triste Halloween,
en voilà des bonnes nouvelles de Goof le père
Et hop, je reserve mes deux tickets pour la bacchanale.
Mais il me manque le 3ème film....????
Tout lecteur de Crosszil qui se respecte aura bien deviné que les 2 premiers seront le Guilliam et le Dupontel.... but je ne complète pas la Trinité....
...."le Dalhia Noir" ??? ....
en voilà des bonnes nouvelles de Goof le père
Et hop, je reserve mes deux tickets pour la bacchanale.
Mais il me manque le 3ème film....????
Tout lecteur de Crosszil qui se respecte aura bien deviné que les 2 premiers seront le Guilliam et le Dupontel.... but je ne complète pas la Trinité....
...."le Dalhia Noir" ??? ....
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
GOOF a écrit:Coucou les petits loups,
Juste en passant… J'envisage de faire une nouvelle soirée au Grand Rex début mars prochain. Avec trois films, que des avant-premières. En présence des équipes. Devinez quels films ???? ah ah… Facile…
Ah oui, de source interne au distributeur, la sortie de Tideland semble enfin définie et définitive pour le 26 avril… Y'a plus qu'à compter les jours…
cg
Yeahhhhhh!!!!!!!! :bounce: :bounce:
Tideland...Enfermé Dehors....et pis le premier Goffette's movie?
Si Tideland sort le 26 AVRIL 2006, Jodelle Ferland sera doublement à l'honneur car la sortie de SILENT HILL de Gans est prévu pour ce mercredi 26 AVRIL 2006 où elle tient un petit rôle.
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
moi c'est clair j'arrive en courrant. La dernière fois, c'etait bien sympa.
Dernière édition par le Mer 23 Nov - 15:36, édité 3 fois
fucking axel- Langue pendue
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
...où le film de JAMES ORDER avec Emma De Caunes et John Hurt...
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
...où GETTING GILLIAM de Vincenzo Natali!!!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
tout est possible!
fucking axel- Langue pendue
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
La date officielle de la sortie de Tideland est annoncée aujourd'hui sur le site de BACFILMS pour le 26 avril 2006 comme l'avait dit Goof à la page 19.
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Première critique/Avis francophone de Tideland...
TIDELAND (2005)
Terry Gilliam
Par Alexandre Fontaine Rousseau
Enfin! On dirait que Terry Gilliam en a eu assez de louer sa formidable signature visuelle aux autres pour à nouveau se consacrer pleinement à son propre cinéma. Si l'aventure commerciale de Brothers Grimm remâchait de manière convenue et superficielle les idées visuelles de films tels que Time Bandits et The Adventures of Baron Munchausen, la magie de Gilliam n'était tout simplement pas au rendez-vous. Ce ne sont pas les magouilles des Weinstein qui avaient eu raison de l'éternel rêveur, ou l'effondrement catastrophique du tournage de son Man Who Killed Don Quixote. L'ancien Monty Python ne savait plus quoi dire, où donner de la tête, où investir son infini génie créateur. Alors pour palier au manque d'inspiration, il essayait de faire du Gilliam. Ou plutôt, ce que le grand public perçoit comme «le style Gilliam». C'est justement parce qu'il se détache d'une perception formelle convenue de ce qu'est ce fameux style Gilliam que Tideland est un formidable retour à la forme pour le plus britannique des réalisateurs américains, probablement son meilleur film depuis Brazil.
Gilliam n'a pas nécessairement dit adieu à ce look particulier pour lequel il est reconnu et adoré. Tout y est: les prises de vue obliques à l'horizon inédit, l'ivresse légère avec laquelle la caméra se déplace dans les pièces, les étranges flashs surréalistes, les décors chargés de détails amusants. Sauf qu'en plaçant dans le contexte d'une réalité sordide la fantaisie auquel on l'associe, Terry Gilliam a su redonner tout son sens à son insolite fantaisie. Tideland, c'est la rencontre au sommet entre Alice au pays des merveilles, Fear and Loathing in Las Vegas et ce Alice où Tom Waits entrecroisait l'univers fictif du célèbre conte mathématiquement halluciné à la relation ambigüe de son auteur Lewis Carroll avec une jeune fille du nom d'Alice. Ou alors, si vous préférez rester local, L'amélanchier de Jacques Ferron tourné en Saskatchewan par un Gilliam à nouveau possédé par cette folie autour de laquelle orbite depuis si longtemps son oeuvre. Avec Tideland, l'auteur trouve de nouvelles façons d'aborder toutes ses obsessions thématiques sous un angle frais et nouveau.
Suite à l'overdose fatale de sa mère, Jeliza-Rose (Jodelle Ferland) se sauve en campagne avec son père aussi débile qu'immature (Jeff Bridges), un vieux rockeur héroïnomane fasciné par le mysticisme viking. Pour fuir la dure réalité, Jeliza-Rose se terre dans son imaginaire débridé qui est en fait une déformation fantasque de la réalité tout de même fort bizarre qui l'entoure. Peut-être cette mystérieuse voisine est-elle un peu sorcière après tout? Se tisse entre la jeune fille et un attardé mental lui-même rêveur à ses heures une relation amoureuse inconfortable, à la fois naïve et déstabilisante. Avec lui comme compagnon de jeu, elle plonge définitivement dans une réalité alternative où les trains deviennent des requins.
Cette frontière vaporeuse et par le fait même dangereuse entre le rêve et la réalité est loin d'être étrangère à l'univers de Gilliam, dont le gout pour les contes de fée acidulés ne se tarit pas avec le temps. Se rapprochant jusqu'à un certain niveau du Voyage de Chihiro de Miyazaki, Tideland est une étrange fable initiatique sur l'enfance qui n'a pourtant rien d'un film pour enfant. Le nouveau Gilliam crée un inconfort viscéral en jouant la carte de l'humour dans des situations dramatiques lourdes, brouille habilement nos points de repères en tempérant ses envolées émotives d'une pointe de cruauté. Ses emportements lyriques les plus inspirés viennent tempérer une horreur psychologique matinée de beauté. Tideland tire sa grande force des sensations contradictoires qu'il arrive à nous soutirer sans cesse ainsi que d'une performance tout bonnement époustouflante de la jeune Jodelle Ferland.
Avec son nouveau film, Gilliam renoue avec l'inventivité jouissive de ses meilleurs essais mais aussi avec cette exploration intellectuelle que ses derniers films avaient laissée en marge. Si bien que l'on quitte le monde de Jeliza-Rose un peu confus et assez perturbé mais complètement convaincu, fasciné, passionné. Tideland est un conte de fée de la maturité, gavé au LSD, où Gilliam nous fait croire à la magie tout en détruisant ses mythes sous nos yeux. Fascinant et tout bonnement merveilleux malgré son intensité parfois crue et son gout marqué pour un état d'instabilité psychologique total, cette sublime errance dans les vastes prairies piégées du rêve est une résurrection artistique sublime qui captivera les fanatiques du réalisateurs et tous ceux dont le monde moderne n'a pas grugé l'imaginaire.
TIDELAND (2005)
Terry Gilliam
Par Alexandre Fontaine Rousseau
Enfin! On dirait que Terry Gilliam en a eu assez de louer sa formidable signature visuelle aux autres pour à nouveau se consacrer pleinement à son propre cinéma. Si l'aventure commerciale de Brothers Grimm remâchait de manière convenue et superficielle les idées visuelles de films tels que Time Bandits et The Adventures of Baron Munchausen, la magie de Gilliam n'était tout simplement pas au rendez-vous. Ce ne sont pas les magouilles des Weinstein qui avaient eu raison de l'éternel rêveur, ou l'effondrement catastrophique du tournage de son Man Who Killed Don Quixote. L'ancien Monty Python ne savait plus quoi dire, où donner de la tête, où investir son infini génie créateur. Alors pour palier au manque d'inspiration, il essayait de faire du Gilliam. Ou plutôt, ce que le grand public perçoit comme «le style Gilliam». C'est justement parce qu'il se détache d'une perception formelle convenue de ce qu'est ce fameux style Gilliam que Tideland est un formidable retour à la forme pour le plus britannique des réalisateurs américains, probablement son meilleur film depuis Brazil.
Gilliam n'a pas nécessairement dit adieu à ce look particulier pour lequel il est reconnu et adoré. Tout y est: les prises de vue obliques à l'horizon inédit, l'ivresse légère avec laquelle la caméra se déplace dans les pièces, les étranges flashs surréalistes, les décors chargés de détails amusants. Sauf qu'en plaçant dans le contexte d'une réalité sordide la fantaisie auquel on l'associe, Terry Gilliam a su redonner tout son sens à son insolite fantaisie. Tideland, c'est la rencontre au sommet entre Alice au pays des merveilles, Fear and Loathing in Las Vegas et ce Alice où Tom Waits entrecroisait l'univers fictif du célèbre conte mathématiquement halluciné à la relation ambigüe de son auteur Lewis Carroll avec une jeune fille du nom d'Alice. Ou alors, si vous préférez rester local, L'amélanchier de Jacques Ferron tourné en Saskatchewan par un Gilliam à nouveau possédé par cette folie autour de laquelle orbite depuis si longtemps son oeuvre. Avec Tideland, l'auteur trouve de nouvelles façons d'aborder toutes ses obsessions thématiques sous un angle frais et nouveau.
Suite à l'overdose fatale de sa mère, Jeliza-Rose (Jodelle Ferland) se sauve en campagne avec son père aussi débile qu'immature (Jeff Bridges), un vieux rockeur héroïnomane fasciné par le mysticisme viking. Pour fuir la dure réalité, Jeliza-Rose se terre dans son imaginaire débridé qui est en fait une déformation fantasque de la réalité tout de même fort bizarre qui l'entoure. Peut-être cette mystérieuse voisine est-elle un peu sorcière après tout? Se tisse entre la jeune fille et un attardé mental lui-même rêveur à ses heures une relation amoureuse inconfortable, à la fois naïve et déstabilisante. Avec lui comme compagnon de jeu, elle plonge définitivement dans une réalité alternative où les trains deviennent des requins.
Cette frontière vaporeuse et par le fait même dangereuse entre le rêve et la réalité est loin d'être étrangère à l'univers de Gilliam, dont le gout pour les contes de fée acidulés ne se tarit pas avec le temps. Se rapprochant jusqu'à un certain niveau du Voyage de Chihiro de Miyazaki, Tideland est une étrange fable initiatique sur l'enfance qui n'a pourtant rien d'un film pour enfant. Le nouveau Gilliam crée un inconfort viscéral en jouant la carte de l'humour dans des situations dramatiques lourdes, brouille habilement nos points de repères en tempérant ses envolées émotives d'une pointe de cruauté. Ses emportements lyriques les plus inspirés viennent tempérer une horreur psychologique matinée de beauté. Tideland tire sa grande force des sensations contradictoires qu'il arrive à nous soutirer sans cesse ainsi que d'une performance tout bonnement époustouflante de la jeune Jodelle Ferland.
Avec son nouveau film, Gilliam renoue avec l'inventivité jouissive de ses meilleurs essais mais aussi avec cette exploration intellectuelle que ses derniers films avaient laissée en marge. Si bien que l'on quitte le monde de Jeliza-Rose un peu confus et assez perturbé mais complètement convaincu, fasciné, passionné. Tideland est un conte de fée de la maturité, gavé au LSD, où Gilliam nous fait croire à la magie tout en détruisant ses mythes sous nos yeux. Fascinant et tout bonnement merveilleux malgré son intensité parfois crue et son gout marqué pour un état d'instabilité psychologique total, cette sublime errance dans les vastes prairies piégées du rêve est une résurrection artistique sublime qui captivera les fanatiques du réalisateurs et tous ceux dont le monde moderne n'a pas grugé l'imaginaire.
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
ANYTHING FOR BILLY
C'est un western dont l'histoire a intéressé Gilliam depuis un certain temps vu qu'il en cause déjà dans le bouquin "dark knight and holy fools" mais apparemment Gilliam bosse à nouveau dessus... Le scénar est de Larry McMurtry, si quelqu'un connaît :
"C'est l'histoire d'un romancier feuilletoniste qui décide d'abandonner femme et enfants pour partir explorer l'Ouest américain qu'il a mythifié dans ses oeuvres. Mais ce qu'il a écrit est totalement fictif : il va là-bas pour détourner des trains mais il finit par tomber sur Billy the Kid" (en gros)
Bruttenholm (forum Gilliam)
C'est un western dont l'histoire a intéressé Gilliam depuis un certain temps vu qu'il en cause déjà dans le bouquin "dark knight and holy fools" mais apparemment Gilliam bosse à nouveau dessus... Le scénar est de Larry McMurtry, si quelqu'un connaît :
"C'est l'histoire d'un romancier feuilletoniste qui décide d'abandonner femme et enfants pour partir explorer l'Ouest américain qu'il a mythifié dans ses oeuvres. Mais ce qu'il a écrit est totalement fictif : il va là-bas pour détourner des trains mais il finit par tomber sur Billy the Kid" (en gros)
Bruttenholm (forum Gilliam)
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
des nouvelles de Terry et de Quichotte
http://www.tageblatt.lu/edition/article.asp?ArticleId=42116
http://www.tageblatt.lu/edition/article.asp?ArticleId=42116
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
TRAILER DE TIDELAND + 3 CLIPS
http://www.tidelandthemovie.com/main.html
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
thanks for the tideland's trailer, it's like a present!
Dernière édition par le Mer 23 Nov - 15:37, édité 1 fois
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Petites infos:
Les frères Grimm: n°1 au BO Italien et N°1 au BO JAPONAIS...
les 80 millions $ de budget sont donc amortis et dépassés!
Les frères Grimm: n°1 au BO Italien et N°1 au BO JAPONAIS...
les 80 millions $ de budget sont donc amortis et dépassés!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
BRUTTENHOLM Forum GILLIAM
Apparemment la vérité sur le tournage des Frères Grimm commence à remonter à la surface... Bob McCabe (aussi à l'origine de "Dark knights and holy fools" autre livre d'entretiens, indispensable pour qui s'intéresse à terry Gilliam) vient de sortir un nouvel ouvrage, "Dreams and nightmares", à propos du tournage du film... Ce livre semble nourri d'entretiens avec les différents participants, et tout le monde semble en prendre pour son grade... On y apprendrait dans le détail les diverses enguelades entre tout le monde (Damon et Harvey weinstein -avec le détail des lettres types d'excuses de Weinstein, Harvey Weinstein et Samantha Morton (qui n'a pas été choisie et a été remplacée par Lena Headey car "Matt et Heath ne voudraient jamais baiser ça" dixit le gros Harvey), Terry Gilliam et à-peu-près tout le monde (apparemment il était en froid avec la plupart des acteurs etc..)) ainsi que les commentaires de Nicola Pecorini (chef opérateur évincé à mi-tournage) sur tout cela (seul Heath Ledger trouverait grâce à ses yeux)... Grosso modo ça a l'air d'être un tournage encore plus foireux que celui relaté dans "lost in la mancha", sauf que là le film est sorti ... Je tire ces infos des quelques premiers avis en anglais (dans le forum en lien, en bas du sujet, dans les derniers messages): [url]http://www.philstubbs.com/dreamsboard/cgi-bin/teemz/teemz.cgi?board=_master&action=opentopic&topic=189&forum=Grimm_News [/url]Sûrement très intéressant pour un anglophone cinéphile ce bouquin... Je me demande si ce sera traduit en français ('m'étonnerait vu que la traduction de "dark knights.." n'est toujours pas faite, près de 10 ans après sa publication)...
Pour ceux que ça intéresse, la fiche sur amazon : http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/0007175566/qid=1132746047/sr=1-2/ref=sr_1_8_2/402-6891400-6620944
Apparemment la vérité sur le tournage des Frères Grimm commence à remonter à la surface... Bob McCabe (aussi à l'origine de "Dark knights and holy fools" autre livre d'entretiens, indispensable pour qui s'intéresse à terry Gilliam) vient de sortir un nouvel ouvrage, "Dreams and nightmares", à propos du tournage du film... Ce livre semble nourri d'entretiens avec les différents participants, et tout le monde semble en prendre pour son grade... On y apprendrait dans le détail les diverses enguelades entre tout le monde (Damon et Harvey weinstein -avec le détail des lettres types d'excuses de Weinstein, Harvey Weinstein et Samantha Morton (qui n'a pas été choisie et a été remplacée par Lena Headey car "Matt et Heath ne voudraient jamais baiser ça" dixit le gros Harvey), Terry Gilliam et à-peu-près tout le monde (apparemment il était en froid avec la plupart des acteurs etc..)) ainsi que les commentaires de Nicola Pecorini (chef opérateur évincé à mi-tournage) sur tout cela (seul Heath Ledger trouverait grâce à ses yeux)... Grosso modo ça a l'air d'être un tournage encore plus foireux que celui relaté dans "lost in la mancha", sauf que là le film est sorti ... Je tire ces infos des quelques premiers avis en anglais (dans le forum en lien, en bas du sujet, dans les derniers messages): [url]http://www.philstubbs.com/dreamsboard/cgi-bin/teemz/teemz.cgi?board=_master&action=opentopic&topic=189&forum=Grimm_News [/url]Sûrement très intéressant pour un anglophone cinéphile ce bouquin... Je me demande si ce sera traduit en français ('m'étonnerait vu que la traduction de "dark knights.." n'est toujours pas faite, près de 10 ans après sa publication)...
Pour ceux que ça intéresse, la fiche sur amazon : http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/0007175566/qid=1132746047/sr=1-2/ref=sr_1_8_2/402-6891400-6620944
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
The Man Who Killed DON QUIXOTE
ça me plombe beaucoup que Rochefort ne soit plus de la partie!!!même avec une Rossinante numérique?
Il y a aussi JEan Pierre MArielle qui ferait bien l'affaire ou Trintignant!
ça me plombe beaucoup que Rochefort ne soit plus de la partie!!!même avec une Rossinante numérique?
Il y a aussi JEan Pierre MArielle qui ferait bien l'affaire ou Trintignant!
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
je ne vois pas du tout Jean-Louis Trintignant dans ce rôle, physiquement j'entends pas au niveau du talent.
Pour Jean-Pierre Marielle, c'est un très bon acteur lui aussi cela va sans dire et pourrait aisément prendre la selle à Jean Rochefort, il y a une certaine ressemblance au niveau de l'allure.
Pourquoi pas John Cleese....?
Pour Jean-Pierre Marielle, c'est un très bon acteur lui aussi cela va sans dire et pourrait aisément prendre la selle à Jean Rochefort, il y a une certaine ressemblance au niveau de l'allure.
Pourquoi pas John Cleese....?
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