TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
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Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
C'est vrai que l'emballage est important, c'est ce qui attire l'oeil en premier comme le physique d'une jeune fille qui émoustille au premier regard ou le "sourire" d'un homme que l'on effleure au coin d'une rue mais moi c'est le contenu qui m'intéresse et prime.
Dépassé l'attirance il faut trouver des sujets de conversation sinon c'est l'affaire d'un soir...
Ma première fois avec Brazil ouh là ça fait un bail, je possède les trois premiers numéros, le format a bien changé, mais après j'ai laissé tomber, je ne m'y retrouvais pas, un sentiment de frustration, il y avait de la matière mais insuffisante à mon goût.
Je suis retournée à mes Cahiers du cinéma, positif et même Première, c'était le tout ou rien, un manque de maturité? peut-être, en fait je ne me posais pas de questions et je ne recherchais pas forcément le ciné proné par ces canards, je me les procurais à titre informatif, pour savoir ce qui se disait, se passait.
C'est une collègue de boulot qui m'a parlé du canard de goof à cause du nom "Brazil" pour des raisons que certains connaissent.
Après c'est l'histoire d'une rencontre, un rejet pour une forme de critique, aussi sans doute face à un modèle de société: uniformisation de la pensée, un terrorisme verbal puis ce fut un renouvellement personnel créatif, je me suis décidée à m'y pencher de nouveau, à me retrouver.
J'ai lu pas mal de magazines ciné, la curiosité m'y a poussé où il n'existait pas de juste milieu critique, c'etait tout le monde il est beau et gentil ou alors très méchant, pas vraiment de véritables sujets qui rendaient compte de cinéma. ça glissait toujours sur le terrain people et cie.
Les gens qui écrivent dans le canard de Goof sont en or car ils sont disponibles, curieux et passionnés, c'est surtout pour cette raison que je l'achète!
Je comprends que la nouvelle couv peut déplaire, la revue a un côté authentique à cause des plumes qui sévissent, qui mettent leur coeur à nu mais je crois qu'il est bon aussi de vouloir attirer une autre forme de public sans pour autant vendre son âme au diable.
on peut faire des compromis en refusant la concession.
Ces journalistes me donnent envie de voir, d'écouter (un éveil à la musique)....
et éventuellement de briller en société...euh non je déconne...
Dépassé l'attirance il faut trouver des sujets de conversation sinon c'est l'affaire d'un soir...
Ma première fois avec Brazil ouh là ça fait un bail, je possède les trois premiers numéros, le format a bien changé, mais après j'ai laissé tomber, je ne m'y retrouvais pas, un sentiment de frustration, il y avait de la matière mais insuffisante à mon goût.
Je suis retournée à mes Cahiers du cinéma, positif et même Première, c'était le tout ou rien, un manque de maturité? peut-être, en fait je ne me posais pas de questions et je ne recherchais pas forcément le ciné proné par ces canards, je me les procurais à titre informatif, pour savoir ce qui se disait, se passait.
C'est une collègue de boulot qui m'a parlé du canard de goof à cause du nom "Brazil" pour des raisons que certains connaissent.
Après c'est l'histoire d'une rencontre, un rejet pour une forme de critique, aussi sans doute face à un modèle de société: uniformisation de la pensée, un terrorisme verbal puis ce fut un renouvellement personnel créatif, je me suis décidée à m'y pencher de nouveau, à me retrouver.
J'ai lu pas mal de magazines ciné, la curiosité m'y a poussé où il n'existait pas de juste milieu critique, c'etait tout le monde il est beau et gentil ou alors très méchant, pas vraiment de véritables sujets qui rendaient compte de cinéma. ça glissait toujours sur le terrain people et cie.
Les gens qui écrivent dans le canard de Goof sont en or car ils sont disponibles, curieux et passionnés, c'est surtout pour cette raison que je l'achète!
Je comprends que la nouvelle couv peut déplaire, la revue a un côté authentique à cause des plumes qui sévissent, qui mettent leur coeur à nu mais je crois qu'il est bon aussi de vouloir attirer une autre forme de public sans pour autant vendre son âme au diable.
on peut faire des compromis en refusant la concession.
Ces journalistes me donnent envie de voir, d'écouter (un éveil à la musique)....
et éventuellement de briller en société...euh non je déconne...
Dernière édition par le Jeu 21 Juil - 19:12, édité 2 fois
fucking axel- Langue pendue
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Localisation : alsace
Date d'inscription : 08/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Voici un petit compte rendu de la visite de GILLIAM à Neuchatel, glané grâce à notre petit mais très actif "forum GILLIAM"
morceaux choisis
Les nouveaux Graals de Terry Gilliam
ALAIN LORFÈVRE
Mis en ligne le 07/07/2005
- - - - - - - - - - -
L'ex-Monty Python revient cette année avec «Les Frères Grimm» et «Tideland».
Il a digéré l'échec de «Don Quichotte», projet qu'il n'a pas totalement abandonné.
D.R.
À NEUCHÂTEL
Depuis le tournage avorté de «The Man Who Killed Don Quichotte» en 2000, raconté dans le documentaire «Lost in La Mancha», on se demandait si Terry Gilliam, bientôt 65 ans, allait retrouver le chemin des écrans. Habitué des projets pharaoniques et iconoclastes, l'ex-Monty Python semblait en effet victime de la scoumoune: engagé par le tandem de producteurs Bob et Harvey Weinstein pour un projet a priori taillé sur mesure pour lui, «Les Frères Grimm», Gilliam s'est retrouvé au bout d'un an en désaccord artistique avec ceux-ci, au point de se faire retirer le bébé. Mais le gaillard su une fois de plus rebondir, s'en allant tourner un projet personnel, «Tideland», adaptation d'un roman de Mitch Cullin.
Ce deuxième semestre 2005 marquera donc le grand retour du réalisateur de «Brazil», absent de l'affiche depuis «Fear and Loathing in Las Vegas» en 1997: «Les Frères Grimm», qu'il a finalement achevé, sortira sur nos écrans en octobre, suivi début 2006 par «Tideland».
Auparavant, Terry Gilliam aura reçu un Léopard d'Or d'honneur au festival de Locarno début août. Pour amorcer ce come-back en douceur, et rappeler que ce qui compte avant tout, pour lui, c'est son public, Terry Gilliam a accepté de répondre le 2 juillet dernier à l'invitation du dynamique Festival du Film Fantastique de Neuchâtel. Coiffé tel un padawan Jedi, il y a répondu plus d'une heure durant aux questions d'une salle comble. Morceaux choisis en primeur, qui révèlent que malgré ses déboires, il n'a perdu ni de son énergie, ni de son humour.
Comment s'est organisé le tournage conjoint de vos deux nouveaux films?
Ce fut une situation très étrange. «The Brothers Grimm» a été tourné en 2003 à Prague et terminé en juin 2004. Mais il y a eu un désaccord entre les frères Grimm... - Weinstein! - et moi. Nous avions une perception différente du film. On est donc parti chacun de notre côté et je suis parti au Canada tourner «Tideland». Finalement, ils sont revenus vers moi et j'ai achevé «Grimm». «Grimm» était un film très lourd, élaboré, avec des effets spéciaux. C'est pour moi un film important parce qu'aux Etats-Unis, notamment, les enfants ne lisent plus les frères Grimm et j'espère que le film redonnera ce goût pour leurs livres. «Tideland» est aussi adapté d'un livre mais c'est un film plus léger en terme de production. On a eu beaucoup plus de liberté et donc de plaisir à le faire.
Est-ce que ça veut dire que pour continuer à faire des films dans le système hollywoodien, il faut alterner une grosse production pour faire ensuite un film plus personnel.
Non, je prends ce qu'on me propose! (rires) Après le naufrage de «Don Quichotte», je n'avais plus d'argent et j'ai travaillé sur différents projets. Mais je ne suis pas parvenu à les monter. «Grimm», on me l'a proposé. Mais je l'ai réécrit à ma sauce. «Grimm» est en fait un film pour faire peur aux enfants et «Tideland» pour faire peur aux adultes! Et les deux parlent de petites filles dans des situations très déroutantes.
Récemment, Jean Rochefort a déclaré qu'il avait fait une dépression suite à l'échec de «Don Quichotte». Qu'en est-il pour vous?
Cette aventure a été déprimante pour tout le monde. Il m'a fallu du temps pour m'en rendre compte, m'en remettre et être capable de travailler à nouveau. Pendant le tournage de «Tideland» et des «Grimm», j'ai vraiment pu commencer à reprendre confiance. Mais c'est surtout pour la compagnie d'assurance allemande de «Don Quichotte» que ça a été difficile!
Est-ce que vous tenez encore à ce film?
Oui. On essaie de récupérer les droits depuis trois ans auprès de la production française. C'est un projet qui ne me quitte pas.
Est-ce que dans le même ordre d'idée, vous n'avez pas craint d'être dépossédé des «Frères Grimm»?
C'est une situation intéressante. On en était arrivé au point de parler de deux films différents. C'est ce qui arrive souvent avec les films à gros budget. Ceux qui mettent des sommes importantes dans le film sont nerveux et viennent avec leurs propres idées. Et on finit par faire des compromis pour faire plaisir à tout le monde. Mais les compromis, ça ne fait plaisir à personne. Pour moi, ça ne pouvait pas fonctionner, c'est pour ça que je suis parti. Mais quand ils sont revenus me voir, ils m'ont laissé plus de liberté. Le côté positif, c'est que cela m'a permis quelque chose de rare: c'est de revoir le film avec du recul et un regard neuf après six mois. Et je crois qu'il en est meilleur. Finalement, ce fut un happy end, comme dans un conte.
Il y a dans vos films beaucoup d'anticonformisme et d'esprit critique par rapport à la société.
J'essaie seulement de gérer dans mes films ma propre frustration ou colère vis-à-vis du monde, ou mes joies aussi. Je suis très égoïste, en fait. J'aime montrer les absurdités de ce monde ou les injustices qui existent au quotidien. Ce n'est pas tellement le cas dans les «Frères Grimm» et dans «Tideland». Le premier est basé sur un conte de fée et le second est l'histoire d'un enfant qui se construit un monde alors que tout s'écroule autour de lui. C'est un peu une version enfant de «Brazil». Ce qui m'a d'ailleurs frappé, c'est combien «Brazil» fait écho de ce qui se passe aujourd'hui en Amérique. L'Amérique a besoin de terroristes: sans eux, il n'y a aucune raison d'avoir le plus grand complexe militaro-industriel du monde. Les terroristes sont importants, comme ils le sont pour le pouvoir en place dans «Brazil».
Le nouveau film de Tim Burton sort la semaine prochaine. On vous a souvent comparé à lui en raison de vos délires visuels respectifs. Qu'en pensez-vous?
Nous venons tous les deux de l'animation et nous avons tous les deux un amour pour les univers un peu tordus, le fantastique et l'humour. Mais je crois qu'il est plus sympathique que moi et que ses films le sont aussi! (rires)
Et on vous a parfois comparé à Orson Welles pour le nombre de projets inaboutis...
C'est la seule comparaison possible entre Orson Welles et moi!!! (rires)
© La Libre Belgique 2005
morceaux choisis
Les nouveaux Graals de Terry Gilliam
ALAIN LORFÈVRE
Mis en ligne le 07/07/2005
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L'ex-Monty Python revient cette année avec «Les Frères Grimm» et «Tideland».
Il a digéré l'échec de «Don Quichotte», projet qu'il n'a pas totalement abandonné.
D.R.
À NEUCHÂTEL
Depuis le tournage avorté de «The Man Who Killed Don Quichotte» en 2000, raconté dans le documentaire «Lost in La Mancha», on se demandait si Terry Gilliam, bientôt 65 ans, allait retrouver le chemin des écrans. Habitué des projets pharaoniques et iconoclastes, l'ex-Monty Python semblait en effet victime de la scoumoune: engagé par le tandem de producteurs Bob et Harvey Weinstein pour un projet a priori taillé sur mesure pour lui, «Les Frères Grimm», Gilliam s'est retrouvé au bout d'un an en désaccord artistique avec ceux-ci, au point de se faire retirer le bébé. Mais le gaillard su une fois de plus rebondir, s'en allant tourner un projet personnel, «Tideland», adaptation d'un roman de Mitch Cullin.
Ce deuxième semestre 2005 marquera donc le grand retour du réalisateur de «Brazil», absent de l'affiche depuis «Fear and Loathing in Las Vegas» en 1997: «Les Frères Grimm», qu'il a finalement achevé, sortira sur nos écrans en octobre, suivi début 2006 par «Tideland».
Auparavant, Terry Gilliam aura reçu un Léopard d'Or d'honneur au festival de Locarno début août. Pour amorcer ce come-back en douceur, et rappeler que ce qui compte avant tout, pour lui, c'est son public, Terry Gilliam a accepté de répondre le 2 juillet dernier à l'invitation du dynamique Festival du Film Fantastique de Neuchâtel. Coiffé tel un padawan Jedi, il y a répondu plus d'une heure durant aux questions d'une salle comble. Morceaux choisis en primeur, qui révèlent que malgré ses déboires, il n'a perdu ni de son énergie, ni de son humour.
Comment s'est organisé le tournage conjoint de vos deux nouveaux films?
Ce fut une situation très étrange. «The Brothers Grimm» a été tourné en 2003 à Prague et terminé en juin 2004. Mais il y a eu un désaccord entre les frères Grimm... - Weinstein! - et moi. Nous avions une perception différente du film. On est donc parti chacun de notre côté et je suis parti au Canada tourner «Tideland». Finalement, ils sont revenus vers moi et j'ai achevé «Grimm». «Grimm» était un film très lourd, élaboré, avec des effets spéciaux. C'est pour moi un film important parce qu'aux Etats-Unis, notamment, les enfants ne lisent plus les frères Grimm et j'espère que le film redonnera ce goût pour leurs livres. «Tideland» est aussi adapté d'un livre mais c'est un film plus léger en terme de production. On a eu beaucoup plus de liberté et donc de plaisir à le faire.
Est-ce que ça veut dire que pour continuer à faire des films dans le système hollywoodien, il faut alterner une grosse production pour faire ensuite un film plus personnel.
Non, je prends ce qu'on me propose! (rires) Après le naufrage de «Don Quichotte», je n'avais plus d'argent et j'ai travaillé sur différents projets. Mais je ne suis pas parvenu à les monter. «Grimm», on me l'a proposé. Mais je l'ai réécrit à ma sauce. «Grimm» est en fait un film pour faire peur aux enfants et «Tideland» pour faire peur aux adultes! Et les deux parlent de petites filles dans des situations très déroutantes.
Récemment, Jean Rochefort a déclaré qu'il avait fait une dépression suite à l'échec de «Don Quichotte». Qu'en est-il pour vous?
Cette aventure a été déprimante pour tout le monde. Il m'a fallu du temps pour m'en rendre compte, m'en remettre et être capable de travailler à nouveau. Pendant le tournage de «Tideland» et des «Grimm», j'ai vraiment pu commencer à reprendre confiance. Mais c'est surtout pour la compagnie d'assurance allemande de «Don Quichotte» que ça a été difficile!
Est-ce que vous tenez encore à ce film?
Oui. On essaie de récupérer les droits depuis trois ans auprès de la production française. C'est un projet qui ne me quitte pas.
Est-ce que dans le même ordre d'idée, vous n'avez pas craint d'être dépossédé des «Frères Grimm»?
C'est une situation intéressante. On en était arrivé au point de parler de deux films différents. C'est ce qui arrive souvent avec les films à gros budget. Ceux qui mettent des sommes importantes dans le film sont nerveux et viennent avec leurs propres idées. Et on finit par faire des compromis pour faire plaisir à tout le monde. Mais les compromis, ça ne fait plaisir à personne. Pour moi, ça ne pouvait pas fonctionner, c'est pour ça que je suis parti. Mais quand ils sont revenus me voir, ils m'ont laissé plus de liberté. Le côté positif, c'est que cela m'a permis quelque chose de rare: c'est de revoir le film avec du recul et un regard neuf après six mois. Et je crois qu'il en est meilleur. Finalement, ce fut un happy end, comme dans un conte.
Il y a dans vos films beaucoup d'anticonformisme et d'esprit critique par rapport à la société.
J'essaie seulement de gérer dans mes films ma propre frustration ou colère vis-à-vis du monde, ou mes joies aussi. Je suis très égoïste, en fait. J'aime montrer les absurdités de ce monde ou les injustices qui existent au quotidien. Ce n'est pas tellement le cas dans les «Frères Grimm» et dans «Tideland». Le premier est basé sur un conte de fée et le second est l'histoire d'un enfant qui se construit un monde alors que tout s'écroule autour de lui. C'est un peu une version enfant de «Brazil». Ce qui m'a d'ailleurs frappé, c'est combien «Brazil» fait écho de ce qui se passe aujourd'hui en Amérique. L'Amérique a besoin de terroristes: sans eux, il n'y a aucune raison d'avoir le plus grand complexe militaro-industriel du monde. Les terroristes sont importants, comme ils le sont pour le pouvoir en place dans «Brazil».
Le nouveau film de Tim Burton sort la semaine prochaine. On vous a souvent comparé à lui en raison de vos délires visuels respectifs. Qu'en pensez-vous?
Nous venons tous les deux de l'animation et nous avons tous les deux un amour pour les univers un peu tordus, le fantastique et l'humour. Mais je crois qu'il est plus sympathique que moi et que ses films le sont aussi! (rires)
Et on vous a parfois comparé à Orson Welles pour le nombre de projets inaboutis...
C'est la seule comparaison possible entre Orson Welles et moi!!! (rires)
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Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
MAITRE TERRY sera présent au festival de LOCARNO qui aura lieu du 3 au 13 Aout prochain en SUISSE pour se voir remettre un Léopard d'Honneur!!!!!!!
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
GOOF a écrit:Tu sais, "Brazil" était connu par huit lecteurs et demi, on ne perd pas au change, bien au contraire, puisqu'au moins, là, il y a un visuel ciné, même si c'est aussi un dossier rock/littérature/ciné tout mixé.
Et puis, il y a les autres accroches : Tim Burton, Shawn of the Dead, etc.
cg
c'est marrant j'aurais parie l'inverse personnellement, deja quand je parle de brazil autour de moi pas grand monde ne connait mais alors crossroads c'est carrement une illusion (avant la fusion c'etait pareil pour moi j'en avais jamais entendu parle, pourtant plus jeune je lisais souvent des mag' de ce genre)
je trouve que la couv' n'est pas tres vendeuse niveau cine (le logo crossroads est beau mais celui de brazil a carrement ete zappe ...) le gars qui passe devant votre magazine je pense pas que ca va lui sauter aux yeux que vous parlez cine dedans
deja que brazil c'est fait zappe la couverture alors si en plus il n'y a plus le logo c'est le debut de la fin
ludovic- Bavard
- Nombre de messages : 48
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 12/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
et en plus de la couverture et du titre crossroads a tous les gros titres , je trouve pas ca tres avantageux pour brazil et parlons meme pas d'egalite (sur la couverture c'est 95% cross, 5% brazil...)
degoute je suis ..... de voir brazil disparaitre a ce point la
degoute je suis ..... de voir brazil disparaitre a ce point la
ludovic- Bavard
- Nombre de messages : 48
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 12/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
ludovic a écrit:c'est marrant j'aurais parie l'inverse personnellement, deja quand je parle de brazil autour de moi pas grand monde ne connait mais alors crossroads c'est carrement une illusion (avant la fusion c'etait pareil pour moi j'en avais jamais entendu parle, pourtant plus jeune je lisais souvent des mag' de ce genre)
Je crois qu'on parle peu de la presse musicale spécialisée en général. Pourtant, n'importe quel passionné de musique feuilletant la presse musicale en magasin ne peut manquer d'observer la valeur de Crossroads. C'est en tout cas ce qui s'est passé pour moi en tant que lecteur.
Hugues- Langue pendue
- Nombre de messages : 10809
Age : 55
Localisation : Manosque
Date d'inscription : 05/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
je crois que la sortie est pour le 5 Octobre....on est plus à une semaine près, j'espère le voir avant ma première hanche en plastique!
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Non, Brazil ne disparait pas. Juste le logo que, techniquement, j'avais moyen le droit de mettre, de toute façon. On a fait 9 numéros aditionnés, ça me parait suffisant pour que les lecteurs venant de Brazil sachent que Brazil est là. Les autres, il faut les conquérir de toutes les manières, alors ça ne change pas grand-chose. Et sinon, pour moi, quand même, Johnny Depp en couverture, c'est une couverture Brazil (un film de Gilliam, qui plus est), même si le sujet est transversal (littérature-ciné-musique). Il y a d'autres sujets ciné qui sont mentionnés : Tim Burton, Shawn of the Dead, etc.
Et le numéro suivant, rentrée oblige, sera plus orienté cinéma. Et ainsi de suite… Il y a aussi plus de news, c'est un tout.
Maintenant, je sais que ça ne pourra pas plaire à tout le monde, car les critères des uns et des autres sont fondamentalement différents, voire opposés. Ce qui est certain -et j'insiste !- c'est que JAMAIS je n'ai voulu léser les lecteurs d'une partie ou de l'autre. J'ai créé ces deux revues, ce n'est pas pour les vendanger.
Bref, à poursuivre quand vous aurez lu/vu/découvert/décortiqué la chose…
cg
Et le numéro suivant, rentrée oblige, sera plus orienté cinéma. Et ainsi de suite… Il y a aussi plus de news, c'est un tout.
Maintenant, je sais que ça ne pourra pas plaire à tout le monde, car les critères des uns et des autres sont fondamentalement différents, voire opposés. Ce qui est certain -et j'insiste !- c'est que JAMAIS je n'ai voulu léser les lecteurs d'une partie ou de l'autre. J'ai créé ces deux revues, ce n'est pas pour les vendanger.
Bref, à poursuivre quand vous aurez lu/vu/découvert/décortiqué la chose…
cg
GOOF- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 454
Date d'inscription : 06/04/2005
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Diffusion ce soir DImanche à 20h45 sur ARTE de Fisher King/Le Roi Pêcheur....
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
ATTENTION IMAGE SPOILISANTE!!!!!
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
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Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
comme je l'ai déjà dit je ne suis pas du tout cinéphile, mais celui-là j'irai le voir.
tiens, d'ailleurs à midi je me suis acheté "les aventures du baron de Munchausen" ... à la Fnac si,si,si (9,99€)
tiens, d'ailleurs à midi je me suis acheté "les aventures du baron de Munchausen" ... à la Fnac si,si,si (9,99€)
abominog- Langue pendue
- Nombre de messages : 301
Date d'inscription : 27/05/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Très bien "le baron"... hier soir il y avait "Fisher King" sur Arte... pour les amateurs (écrit par l'adaptateur de Sur la Route de Madison ce qui fait rêver sur le grand écart)
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Comme l'a dit Goof dans le mag c'est un de ces films les plus chiadées de Gilliam...un film d'aventure burlesque à gros budget mieux vaut le voir sur grand écran...
Oui les Aventures du Baron sont à 9,99 E comme Las Vegas Parano et Brazil!
Pour les Aventures du BAron, nous attendons un DVD chez Critérion qui pourrait comporter le film remasterisé, le film original allemand (commande de Goebbels!!!) et des Bonus. En fait, un objet comme BAndits BAndits en quelque sorte...aussi soigné j'entend.
Oui les Aventures du Baron sont à 9,99 E comme Las Vegas Parano et Brazil!
Pour les Aventures du BAron, nous attendons un DVD chez Critérion qui pourrait comporter le film remasterisé, le film original allemand (commande de Goebbels!!!) et des Bonus. En fait, un objet comme BAndits BAndits en quelque sorte...aussi soigné j'entend.
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
AmarokProg a écrit:Très bien "le baron"... hier soir il y avait "Fisher King" sur Arte... pour les amateurs (écrit par l'adaptateur de Sur la Route de Madison ce qui fait rêver sur le grand écart)
Richard Lagravenese est un fabuleux scénariste.
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Interview de Mitch Cullin, l'auteur du roman TIDELAND...
http://www.smart.co.uk/dreams/tidecul2.htm
http://www.smart.co.uk/dreams/tidecul2.htm
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Richard Lagravenese est un fabuleux scénariste.
Oui. Egalement auteur de "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" ou "Beloved" ou le très joli film de Diane Keaton "Les liens du souvenir" avec Andie McDowell et John Turturro.
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
"Les Frères Grimm" sera en compétition officielle au prochain Festival de Venise qui débute le 31 août prochain !
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
OUi c'est génial...Gilliam va enchaîner les festival avec Locarno (ou il reçoit de nouveau un hommage...), Toronto, Venise...
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Bonnes vacances!! je disparais une quinzaine de jours...
a revoir les copîns
a revoir les copîns
Vintage- Langue pendue
- Nombre de messages : 2008
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
Des nouvelles de Brothers Grimm US:
Les premières critiques US sont très bonnes...elles mettent en valeur le coté bordélique et jubilatoire du scénario et de l'univers fantasmagorique.
Les premières critiques US sont très bonnes...elles mettent en valeur le coté bordélique et jubilatoire du scénario et de l'univers fantasmagorique.
Vintage- Langue pendue
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Date d'inscription : 07/04/2005
Re: TERRY GILLIAM 'S "TOPIC"
voici une nouvelle interview du Maître Terry:
http://www.smart.co.uk/dreams/tgint05.htm
http://www.smart.co.uk/dreams/tgint05.htm
Vintage- Langue pendue
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