Brazil #2 - Novembre 2007
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Brazil #2 - Novembre 2007
Ça commence bien !…
Tout d’abord, une fois n’est pas coutume, le présumé grincheux que je suis va commencer sa bafouille mensuelle par un grand merci. Merci à vous tous qui nous avez acheté, envoyé des mots de soutien, de félicitations (bon, faut pas abuser non plus, brazil demeure très perfectible), voire qui vous êtes abonnés (notre ami banquier se joint à moi pour ces remerciements-là). Vous avez été bien plus nombreux que dans nos espoirs les plus fous, ça fait chaud au cœur (vraiment).
Merci aussi aux rares annonceurs qui nous ont soutenu jusqu’à présent. Il est agréable d’entendre parfois autre chose que « nous attendons de voir ce que vous allez faire, rappelez-nous dans six mois » (ou un an… ou jamais !). Parce que, franchement, que pourrions-nous faire à part ce que nous avons toujours fait, à savoir défendre –si nécessaire avec la plus ridicule des mauvaises fois- nos favoris d’hier ou d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, ceux en devenir par la même occasion, ça ne mange pas de pain ; mais aussi mettre en avant surprises (bonnes) et coups de cœur (rares). En tirant à vue aussi quand c’est nécessaire (toujours), parce que c’est notre boulot, je pense, de dénoncer ce qui nous met hors de nous ; parce que cela forme un tout, que l’univers brazilien que nous voulons mettre en exergue, si tant est qu’une telle bestiole existe, c’est cet équilibre résolument fragile entre militantisme, don quichotteries et un rien de briganderie de grand chemin…
Pour le publi-rédactionnel, il va donc falloir frapper à la porte des quelques autres revues existantes qui savent en être si friandes ; pour ce qui est de l’analyse prise de tête, vous connaissez aussi l’adresse de vos fournisseurs habituels ; et si vous voulez de l’hypocrisie bon teint par paquets de douze, de la people-isation vermoulue et du soufflé préchi-préchesque, vous pouvez vous brosser, on aurait envie de le faire qu’on ne saurait même pas comment s’y prendre !…
Ici, la cinéphilie est épidémique –et on l’espère contagieuse- et l’on vit le cinéma. Il nous prend aux tripes, nous secoue l’âme et nous retourne la pulpe. Il lui arrive aussi de créer de drôles de circonvolutions cognitives dans les parties les plus incongrues de notre cortex, ce qui ne veut pas dire grand-chose, mais on s’en fout, parce qu’on n’est pas là non plus pour se prendre au sérieux…
À bon entendeur, bonne lecture (vous pouvez vous réabonner une seconde fois, hein, l’utilisation n’exclut pas l’abus) et rendez-vous le mois prochain pour un numéro qui s’annonce aux petits oignons…
Christophe Goffette
Tout d’abord, une fois n’est pas coutume, le présumé grincheux que je suis va commencer sa bafouille mensuelle par un grand merci. Merci à vous tous qui nous avez acheté, envoyé des mots de soutien, de félicitations (bon, faut pas abuser non plus, brazil demeure très perfectible), voire qui vous êtes abonnés (notre ami banquier se joint à moi pour ces remerciements-là). Vous avez été bien plus nombreux que dans nos espoirs les plus fous, ça fait chaud au cœur (vraiment).
Merci aussi aux rares annonceurs qui nous ont soutenu jusqu’à présent. Il est agréable d’entendre parfois autre chose que « nous attendons de voir ce que vous allez faire, rappelez-nous dans six mois » (ou un an… ou jamais !). Parce que, franchement, que pourrions-nous faire à part ce que nous avons toujours fait, à savoir défendre –si nécessaire avec la plus ridicule des mauvaises fois- nos favoris d’hier ou d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, ceux en devenir par la même occasion, ça ne mange pas de pain ; mais aussi mettre en avant surprises (bonnes) et coups de cœur (rares). En tirant à vue aussi quand c’est nécessaire (toujours), parce que c’est notre boulot, je pense, de dénoncer ce qui nous met hors de nous ; parce que cela forme un tout, que l’univers brazilien que nous voulons mettre en exergue, si tant est qu’une telle bestiole existe, c’est cet équilibre résolument fragile entre militantisme, don quichotteries et un rien de briganderie de grand chemin…
Pour le publi-rédactionnel, il va donc falloir frapper à la porte des quelques autres revues existantes qui savent en être si friandes ; pour ce qui est de l’analyse prise de tête, vous connaissez aussi l’adresse de vos fournisseurs habituels ; et si vous voulez de l’hypocrisie bon teint par paquets de douze, de la people-isation vermoulue et du soufflé préchi-préchesque, vous pouvez vous brosser, on aurait envie de le faire qu’on ne saurait même pas comment s’y prendre !…
Ici, la cinéphilie est épidémique –et on l’espère contagieuse- et l’on vit le cinéma. Il nous prend aux tripes, nous secoue l’âme et nous retourne la pulpe. Il lui arrive aussi de créer de drôles de circonvolutions cognitives dans les parties les plus incongrues de notre cortex, ce qui ne veut pas dire grand-chose, mais on s’en fout, parce qu’on n’est pas là non plus pour se prendre au sérieux…
À bon entendeur, bonne lecture (vous pouvez vous réabonner une seconde fois, hein, l’utilisation n’exclut pas l’abus) et rendez-vous le mois prochain pour un numéro qui s’annonce aux petits oignons…
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