Chansons favorites des sixties (1960-1969)
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
johnny99 a écrit:C'est fou ça, j'ignorais que ce titre des Beatles se nommait "the end"!
Dire que j'ai failli ne pas le poster en me disant que c'était trop connu...
Pour la petite histoire, techniquement parlant, la suite d'Abbey Road se divise ainsi:
You never give me your money
Sun king/Mr Mustard
Polythene Pam/She came in through the bathroom window
Golden slumbers/Carry that weight
The end
Les morceaux couplés ci-dessus ont été enregistrés à la suite, comme des medleys - le reste fut affaire de cutting (très habile, soit dit en passant!).
Lors de ma dernière écoute, j'ai tout simplement adoré ces medleys. Même si Sun king/Mr Mustard n'est pas dans ma liste, je le trouve sublime. Auparavant j'estimais "Sun king" mineur ou plat, j'avais bougrement tort.
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Le choix le plus indéfendable de ma liste: des paroles ultra niaises, un chant nunuche... pourquoi aime-je cette chanson?
Parce que la musique est paradisiaque. Elle passe comme un flot de lumière, au cours irrépressible. Indéniablement enchanteur lorsqu'on n'en capte que la grâce. J'en aime le flux soudain et le mouvement pur.
Dernière édition par Hugues le Mer 28 Avr - 21:59, édité 1 fois
Hugues- Langue pendue
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johnny99- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Ne vous laissez pas distraire par les jolies jambes: cette chanson est géniale. Ne serait-ce que la ligne de basse sur le refrain.
Dernière édition par Hugues le Mer 28 Avr - 22:03, édité 1 fois
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Hugues a écrit:johnny99 a écrit:C'est fou ça, j'ignorais que ce titre des Beatles se nommait "the end"!
Dire que j'ai failli ne pas le poster en me disant que c'était trop connu...
Pour la petite histoire, techniquement parlant, la suite d'Abbey Road se divise ainsi:
You never give me your money
Sun king/Mr Mustard
Polythene Pam/She came in through the bathroom window
Golden slumbers/Carry that weight
The end
Les morceaux couplés ci-dessus ont été enregistrés à la suite, comme des medleys - le reste fut affaire de cutting (très habile, soit dit en passant!).
Lors de ma dernière écoute, j'ai tout simplement adoré ces medleys. Même si Sun king/Mr Mustard n'est pas dans ma liste, je le trouve sublime. Auparavant j'estimais "Sun king" mineur ou plat, j'avais bougrement tort.
N'oublions pas que "The End" n'est pas la fin et se termine, après un blanc, par "Her Majesty"
Quiet Man- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Oui, mais là je dois dire que je continue de trouver cette bribe sans intérêt... Peut-être ai-je tort, je vais la réécouter.
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Hugues a écrit:Oui, mais là je dois dire que je continue de trouver cette bribe sans intérêt... Peut-être ai-je tort, je vais la réécouter.
Ce qui est marrant (une coïncidence puisque je l'écoute en ce moment), c'est que sur le "Memory Almost Full" de McCartney il y a un titre qui s'appelle "The End Is Not The End". Je l'avais oublié quand j'ai posté mon commentaire...
Quant à "Her Majesty", l'intérêt est dans la provocation... les tabloîds britanniques ont apprécié, à l'époque...
Quiet Man- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
"Her Majesty" est une chanson du groupe britannique les Beatles. Elle a été écrite par Paul McCartney, mais créditée Lennon/McCartney. C'est la dernière chanson de l’album "Abbey Road" sorti en 1969. Elle faisait au départ partie intégrante du fameux medley de l’album, mais s’est finalement retrouvée isolée à la fin de la bande et dans le mixage final pour devenir la première chanson cachée de l’histoire du rock, n’étant pas créditée sur la pochette du 33 tours original.
Genèse de la chanson:
Paul McCartney s’est sûrement rappelé de la rencontre des Beatles avec la Reine Elizabeth II, le 26 octobre 1965 à Buckingham Palace, lorsqu’elle les déclara membres de l’Ordre de l'Empire britannique (MBE). Paul avait alors déclaré: «La Reine est adorable, elle est très aimable, elle s’est montrée comme une mère pour nous». Il composa cette petite ritournelle, où il évoque la souveraine d’une manière peu commune, quelques années plus tard dans sa ferme en Écosse.
Enregistrement de la chanson:
La chanson fut enregistrée séparément des autres chansons du medley aux studios Abbey Road le 2 juillet 1969. Dans la première version enregistrée du medley, "Her Majesty" était placée entre les deux titres de John Lennon, "Mean Mr. Mustard" et "Polythene Pam". Elle fut coupée net de la bande car Paul n’aimait pas le résultat. Il demanda à l’ingénieur du son présent, John Kurlander, de la supprimer. Finalement, suivant la consigne qu’aucun enregistrement des Beatles ne devait être jeté à la poubelle, Kurlander décida de la placer à la fin du medley, après "The End" et quinze secondes de silence, et en entendant le résultat, Paul donna son approbation. Sur la version finale, Her Majesty commence donc après un long blanc avec l’accord final de "Mean Mr. Mustard", coupé de la bande.
Conséquence, alors que "The End" aurait symboliquement dû clôturer le dernier disque des Beatles, ce redoutable honneur est finalement revenu à cette minuscule pièce de 23 secondes, tout simplement la plus courte chanson des Beatles.
(from wikipedia.fr)
Genèse de la chanson:
Paul McCartney s’est sûrement rappelé de la rencontre des Beatles avec la Reine Elizabeth II, le 26 octobre 1965 à Buckingham Palace, lorsqu’elle les déclara membres de l’Ordre de l'Empire britannique (MBE). Paul avait alors déclaré: «La Reine est adorable, elle est très aimable, elle s’est montrée comme une mère pour nous». Il composa cette petite ritournelle, où il évoque la souveraine d’une manière peu commune, quelques années plus tard dans sa ferme en Écosse.
Enregistrement de la chanson:
La chanson fut enregistrée séparément des autres chansons du medley aux studios Abbey Road le 2 juillet 1969. Dans la première version enregistrée du medley, "Her Majesty" était placée entre les deux titres de John Lennon, "Mean Mr. Mustard" et "Polythene Pam". Elle fut coupée net de la bande car Paul n’aimait pas le résultat. Il demanda à l’ingénieur du son présent, John Kurlander, de la supprimer. Finalement, suivant la consigne qu’aucun enregistrement des Beatles ne devait être jeté à la poubelle, Kurlander décida de la placer à la fin du medley, après "The End" et quinze secondes de silence, et en entendant le résultat, Paul donna son approbation. Sur la version finale, Her Majesty commence donc après un long blanc avec l’accord final de "Mean Mr. Mustard", coupé de la bande.
Conséquence, alors que "The End" aurait symboliquement dû clôturer le dernier disque des Beatles, ce redoutable honneur est finalement revenu à cette minuscule pièce de 23 secondes, tout simplement la plus courte chanson des Beatles.
(from wikipedia.fr)
Quiet Man- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Ma chanson préférée de Townes Van Zandt, qui conclut mon album préféré, Our Mother the Mountain (qui n'est pas celui qu'on voit en pochette sur ce YouTube).
Je suis incapable de comprendre comment tout être humain digne de ce nom peut résister à cette voix, cette musique, et tant d'émotion. Et je ne me suis jamais vraiment soucié d'en comprendre les paroles, c'est vous dire si cette émotion me suffit...
Je suis incapable de comprendre comment tout être humain digne de ce nom peut résister à cette voix, cette musique, et tant d'émotion. Et je ne me suis jamais vraiment soucié d'en comprendre les paroles, c'est vous dire si cette émotion me suffit...
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Dès les premières notes, le bonheur se profile... Celui d'avoir déjà parcouru les vallées de cette chanson des dizaines de fois... Van Morrison creuse l'infini, et le désir d'infini qui est en nous. Sur Astral Weeks, bien sûr, chef d'oeuvre unique.
Et puis tiens, puisque la mesure n'est pas de mise avec Van the Man, double ration avec l'immortel "Madame George" du même album...
Comment? Vous n'êtes pas encore allé courir acheter le disque?
Van Morrisson - Sweet Thing .mp3 | ||
Found at bee mp3 search engine |
Et puis tiens, puisque la mesure n'est pas de mise avec Van the Man, double ration avec l'immortel "Madame George" du même album...
Van Morrison - Madame George .mp3 | ||
Found at bee mp3 search engine |
Comment? Vous n'êtes pas encore allé courir acheter le disque?
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Bobbie Gentry: "Jessye 'Lisabeth" + "Refractions"
Ces deux titres sont fondus l'un à l'autre sur le sublime deuxième album paru en 1968, The Delta Sweete.
Ces deux titres sont fondus l'un à l'autre sur le sublime deuxième album paru en 1968, The Delta Sweete.
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
En 1961, Phil Spector produisit les Paris Sisters. Il repéra très vite les qualités vocales de Priscilla, la cadette. Parmi les perles enregistrées, "I Love How You Love Me" squattera les juke-boxes. La magie de cette chanson est une combustion de deux éléments: la musique de Spector et la voix de Priscilla. D'un côté, Spector sait quand ajouter une strate de cordes pour soulever cette nonchalante berceuse dans l'éther, de l'autre, la voix cotonneuse de Priscilla, merveille de rêve éveillé, lui imprime un aspect onirique et argenté.
La version solo de Priscilla, en 1974, conserve une moitié de la magie (le chant): manque l'autre moitié, la science Wagnerienne de Spector. Ici le rythme plus appuyé à la batterie, en fait quelque chose de plus banal. Spector, lui, préférait l'orchestre du ciel.
La version solo de Priscilla, en 1974, conserve une moitié de la magie (le chant): manque l'autre moitié, la science Wagnerienne de Spector. Ici le rythme plus appuyé à la batterie, en fait quelque chose de plus banal. Spector, lui, préférait l'orchestre du ciel.
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Il y a des chansons comme ça... traversées de vivifiante lumière, au pouls vibrant de la vie.
Hugues- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Hugues a écrit:Il y a des chansons comme ça... traversées de vivifiante lumière, au pouls vibrant de la vie.
"Different Drum" unr chanson de Michael Nesmith, un artiste à la carrière admirable après les Monkees...
Quiet Man- Langue pendue
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Re: Chansons favorites des sixties (1960-1969)
Le plus beau rock du monde
Si j'en crois ce que j'ai lu, ce fut John Cale l'artisan principal de ce son si compact... On parlera donc de magie combustive ici aussi: un son et une voix (la voix de Cale étant le talon d'Achille de ses disques solo, à mon avis).
Si j'en crois ce que j'ai lu, ce fut John Cale l'artisan principal de ce son si compact... On parlera donc de magie combustive ici aussi: un son et une voix (la voix de Cale étant le talon d'Achille de ses disques solo, à mon avis).
Hugues- Langue pendue
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