Queen of Blues

Grande nouvelle citoyens de blues land (un pays autrement plus sympa que la France du petit Nicolas...) !!

Koko Taylor est de retour (apres de nombreux pbs de sante), et l'album est grandiose. Du blues et rien que du blues, de celui qui racle les planchers d'un club sans age de Chicago et qui deferle telle une horde sauvage precher la bonne parole de cette musique des bleus dans l'ame.

Oyez, oyez, vive Koko !!

L'album s'appelle "Old School" et est disponible chez Alligator.
Un album qui fait vraiment du bien en ces temps d'indigence musicale.

Crazy C.

encore d'accord ...


un copier-coller de la chronique succincte que j'en ai fait sur mon forum :


Koko Taylor : Old School (2007)




1. Piece of Man 4:30 (Koko Taylor)
2. Gonna Buy Me A Mule 5:18 (Koko Taylor)
3. Black Rat 5:07 (Lizzie Lawler)
4. Money Is The Name Of The Game 6:46 (Johnny Thompson)
5. You Ain’t Worth A Good Woman 5:35 (Koko Taylor)
6. Better Watch Your Step 4:53 (Koko Taylor)
7. Bad Avenue 5:20 (Walter “Lefty Dizz” Williams)
8. Bad Rooster 5:22 ((E.G. Kight & Richard Fleming)
9. Don’t Go No Further 3:42 (Willie Dixon)
10. All Your Love 6:34 (Sam Maghett)
11. Hard Pill To Swallow 5:50 (Koko Taylor)
12. Young Fashioned Ways 4:42 (Willie Dixon)


Comme son titre l'indique fort justement, Koko Taylor revient avec ce disque à ses premières amours. Celle qui avait parfois sombré dans la facilité et qui n'avait pas sorti d'album depuis sept ans nous offre tout simplement un vrai disque de Chicago blues comme on en faisait autrefois. Avec l'aide notamment de Bob Margolin et surtout du grand harmoniciste Billy Branch ainsi que d'un pianiste et d'un saxophoniste de toute première qualité elle renoue avec une tradition qui convient parfaitement à la splendide tessiture de sa voix, le top actuel de la scène blues de Chicago est présent pour entourer la reine du blues.

Mêlant habilement compositions personnelles et reprises judicieuses, blues enflammés et ballades enivrantes, elle laisse s'exprimer son blues avec une âme qui ne peut pas laisser indifférent, loin des productions aseptisées de quelques uns de ses confrères du genre. On est là en présence du blues authentique, du blues des premiers temps de Chicago, le tout avec une production moderne qui en a gommé cetains défauts. Willie Dixon n'aurait certainement pas renié cet exercice de style.

Inutile d'en rajouter, je vous conseille vivement de noter cet album pour un de vos prochains achats ! Garanti sans déception possible.

Yeah right !!
Tres juste chronique

Crazy C.